Une ardente patience

Nom du livre	Une ardente patience
Auteur	Antonio Skarmeta
Editeur	Seuil
Année de parution	2005
Genre	Réalisme, Roman de vie, Romantisme
Nombre de pages	155 pages

Synopsis

            Qu'est-ce qu'un poète pour Mario Jiménez, le petit facteur de l'île Noire, dont l'unique client n'est autre que Pablo Neruda ? Quelqu'un qui sait mieux que quiconque manier les phrases et qui l'aidera donc à faire la cour à Béatrice, la fille de l'aubergiste ? Neruda se laisse séduire par le petit facteur en quête d'un " art poétique ". Et Mario, impressionné, va découvrir la " force du verbe ". Une grande tendresse s'établit entre ces deux " hommes de lettres ". Mais les rivages marins s'obscurcissent bientôt, jusqu'à la tragédie finale : la mort du poète, et au-delà celle d'Allende et de la démocratie chilienne. Un roman qui a été adapté au cinéma, sous le titre Le Facteur, avec dans les rôles principaux Philippe Noiret et Massimo Troisi.

Mon avis

            Une ardente patience, un livre imposé par la dictature qu’est l’école. Un livre lu l’an passé, en janvier, cela fait donc plus d’un an et 3 mois que je l’ai lu pour un total de trois fois. Mais est-ce que j’ai aimé ce livre pour autant ? Pas vraiment, non.

            Tout d’abord, nous allons commencer par le beau point de ce livre. Les relations entre les personnages est juste magnifique. Nous avons d’un côté Mario avec une belle jeune femme qu’il va essayer de charmer et nous allons vivre leur relation mais nous avons aussi la relation entre Mario et l’écrivain, Pablo Neruda. Une relation d’un père envers un fils, une relation entre vieux amis, une relation à caractères changeants. Une relation hors du commun.

            Malheureusement, la lecture ne se fait pas que sur les relations des personnages et il y a un manque d’action dans l’histoire. L’histoire est assez lente et comme vous le savez, j’aime les histoires qui bougent, qui sont rythmées, qui sont remplies de péripéties et là, non, bim, ça coince. C’est comme si vous mettiez un tortue avec un lion, elle va se faire bouffer et là, j’ai bouffé le livre.

            Pour terminer, les métaphores, les comparaisons et autres procédés poétiques étaient une bonne idée de la part de l’auteur sauf que là, ça nous empêche parfois de comprendre le sens de la phrase et nous devons la relire, ce qui aussi embêtant que ma petite sœur (oui, j’ai utilisé une comparaison). Sans oublier qu’à la fin, l’auteur nous a écrit un charabia incompréhensible.

            En conclusion, je n’ai pas aimé ce roman mais si quelques rigolos ont envie de le lire, bonne lecture mais je ne le recommande pas sauf aux personnes ayant des goûts opposés aux miens.

Un roman aux métaphores incompréhensibles, aux relations touchantes et à l’action paresseuse

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Arthur et les Minimoys (1)

Nom du livre	Arthur et les Minimoys (1)
Auteur	Luc Besson
Editeur	Intervista
Année de parution	2005
Genre	Jeunesse, Aventure, Fantasy
Nombre de pages	204 pages

Synopsis

            Arthur a bien des soucis. Un méchant promoteur rêve de saisir la belle maison de sa grand-mère dans laquelle il passe ses vacances. Pas question de compter sur ses parents qui l'ont déposé là sans ménagement. Pas question non plus d'attendre son grand-père, disparu mystérieusement, il y a maintenant quatre ans. Et puis, comble de malchance, Arthur n'a que dix ans... Peut-être pourra-t-il compter sur Alfred, son gros chien plus affectueux qu'intelligent ? A moins que dans la vielle bibliothèque du grand-père, un grimoire ne lui permette de passer de l'autre côté, au pays des Minimoys. Eux seuls peuvent encore tout sauver

Mon avis

            Arthur et les Minimoys, un film, plutôt une série de films que je n’ai jamais su regarder. Non pas parce que je n’aimais pas mais parce qu’à chaque fois, on me coupait dans mon film. Aujourd’hui, quelques années plus tard, j’ai décidé de lire le roman et je dois dire que je ne m’attendais pas à un livre si … enfantin mais cela est plaisant, c’était une bonne blague. Je l’ai lu et je vais donc dire ce que j’ai aimé et ce que j’ai moins aimé.

            Tout d’abord, j’ai trouvé que certaines choses étaient un peu tirées par les cheveux, un peu trop lourdes à lire à cause de leur stupidité et puis, je me suis mis dans la peau d’un gosse plus jeune et j’ai eu le sourire. Toutes ces choses que je considère stupides étaient marrantes pour un plus petit, d’où ce fameux sourire dans ma lecture.

            Ensuite, j’ai trouvé que l’amour présent dans le livre était trop prononcé mais bien sûr, un plus petit n’aura jamais la même notion que nous du suspense et que pour lui, dans le livre, le suspense amoureux est déjà à son comble.

            Pour terminer, les Minimoys sont des êtres faisant partie d’une civilisation très adorable, d’un peuple mignon. Nous vivons les aventures avec Sélénia, une princesse têtue, orgueilleuse et amoureuse, de Bétamèche, son frère qui est tête en l’air et du héros dont le livre porte son nom : Arthur, un garçon amoureux, imaginatif, courageux, bienveillant. Avec tant de charme dans les personnages, comment y résister ?

            En conclusion, ayant été surpris dans ma lecture, je recommande ce livre à des enfants de 6 à 12 ans.

Un livre enfantin à l’humour aussi débordant que l’amour et à la violence remplacée de bienveillance

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Thomas Passe-Mondes (1) : Dardéa

Nom du livre	Thomas Passe-Mondes (1) : Dardéa
Auteur	Eric Tasset
Editeur	Alice Editions
Année de parution	2010
Genre	Jeunesse, Fantasy, Fantastique, Aventure
Nombre de pages	304 pages

Synopsis

            Thomas Passelande - un orphelin de Quatorze ans - vit une existence sans histoires en compagnie de sa grand-mère Honorine. Jusqu'au jour où il découvre Qu'il possède le pouvoir de pénétrer dans un univers parallèle, le mystérieux Monde d'Anaclasis, peuplé d'habitants étranges. Le jeune garçon apprend alors Qu'il appartient à tordre respecté des Passe-Mondes, et Qu'un destin hors du commun l'attend, en fait depuis toujours. D'aventures en rencontres, aux côtés de sa nouvelle amie Ela, Thomas va découvrir pourquoi cet univers incroyable lui semble si familier...

Mon avis

            Tout d’abord, j’aimerais encore remercier les Editions Alice pour l’envoie de ce livre si fabuleux. Un livre que j’ai pu choisi dans leur merveilleux catalogue qui mérite un coup d’œil. Je dois dire que je n’avais jamais entendu parler de ce livre mais je crois qu’après lecture, je compte lire les 7 autres tomes. Mais pourquoi ai-je aimé ce livre ?

            Tout d’abord, pour l’avant-lecture. Oui, vous vous posez la question de ce que cela peut bien cacher. Généralement, je ne suis pas matérialiste du tout, je ne fais pas attention aux couvertures, je ne m’intéresse qu’à l’histoire que les pages renferment mais là, je n’ai pas pu faire autrement. Quand j’ai déballé le livre de son enveloppe, j’ai été littéralement fasciné par l’objet livre. La couverture est brillamment illustrée et quand j’ai l’ai touchée, j’ai été fasciné.

            Ensuite, malgré l’attraction de la couverture, j’ai su commencé l’histoire et je l’ai trouvée magnifique. En effet, j’adore quand celle-ci se déroule dans un cadre où il y a un monde parallèle au nôtre et où les deux mondes peuvent se communiquer via l’intermédiaire du héros et de certains protagonistes de l’histoire. C’est un genre qui est très distrayant qui permet de nous évader hors d’un monde rempli de soucis, de devoirs et de leçons à apprendre.

            Pour finir, les deux personnages principaux sont attachants, innocents. Voir leur relation d’abord faible qui devient de plus en plus forte est juste merveilleux à lire. Thomas et Ela vont apprendre à se connaître et s’apprécier dans une stupéfiante simplicité qui nous ramène quelques années en arrière, c’est si joli.

            En conclusion, je remercie l’éditeur pour ce livre que je recommande à un jeune public amateur de fantasy car il en vaut vraiment la peine. C’est avec ce genre de livres que j’ai attrapé goût à la lecture.

Un merveilleux objet livre à l’histoire innocente et palpitante qui vous donnera goût à la lecture.

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Réception du vendredi 24 avril 2015

Nom du livre	Thomas Passe-Mondes (1) : Dardéa
Auteur	Eric Tasset
Editeur	Alice Editions
Année de parution	2010
Genre	Jeunesse, Fantastique, Fantasy
Nombre de pages	304 pages

Synopsis

            Thomas Passelande - un orphelin de Quatorze ans - vit une existence sans histoires en compagnie de sa grand-mère Honorine. Jusqu'au jour où il découvre Qu'il possède le pouvoir de pénétrer dans un univers parallèle, le mystérieux Monde d'Anaclasis, peuplé d'habitants étranges. Le jeune garçon apprend alors Qu'il appartient à tordre respecté des Passe-Mondes, et Qu'un destin hors du commun l'attend, en fait depuis toujours. D'aventures en rencontres, aux côtés de sa nouvelle amie Ela, Thomas va découvrir pourquoi cet univers incroyable lui semble si familier...

Je remercie l’éditeur pour ce beau livre qui sera vite lu et chroniqué

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La Fournaise (3) : la Métamorphose

Nom du livre	La Fournaise (3) : la Métamorphose
Auteur	Alexander Gordon Smith
Editeur	Pocket Jeunesse
Année de parution	2014
Genre	Science-fiction, Jeunesse, Aventure
Nombre de pages	269 pages

Synopsis

            On avait laissé Alex, Zed et Simon en pleine tentative d’évasion à travers le conduit de cheminée de la prison. Mais le directeur les a rattrapés. Et il est en train d’en faire des monstres. Peu à peu, Alex se transforme en ce qu’il craint le plus : un panteleur, un des sbires du directeur. Un être sans âme. C’est en communiquant avec Zed qu’il avait survécu à l’obscurité et à la folie, la dernière fois. Mais les ténèbres coulent directement dans ses veines, désormais. Pour s’en sortir, Alex ne peut compter que sur lui-même.

Mon avis

            La Fournaise, série à laquelle j’ai directement accrochée dès les premières pages et me voilà à la fin du troisième tome, après 810 pages au total. Je ne suis pas déçu, loin de là.

            Tout d’abord, le roman est beaucoup plus sombre que les deux premiers. Une noirceur dans la noirceur, une noirceur vous donnant du frisson et du suspense, vous donnant l’envie de lire plus et toujours plus. Cette noirceur donne une touche plus nostalgique, plus mystérieuse à l’histoire.

            Ensuite, le roman apporte certaines réponses à des questions que l’on se posait et nous donne d’autres questions auxquelles nous n’avons pas encore de réponse. Un roman nous donnant des énigmes, des questions est un roman attirant la curiosité et l’attention du lecteur. Donc, par le fait de ces énigmes, de ce mystère, notre curiosité est attisée et notre envie de lire et notre attention sont doublées.

            Pour terminer, le livre met en scène une bonne quantité de valeur comme la souffrance mentale, la solidarité, la peur, la répugnance, la faiblesse (et la force) … C’est juste sensationnel de pouvoir découvrir une facette de ces thèmes de manière ludique et aussi facile. Nous n’avons pas dû nous creuser la tête pour trouver ces valeurs et cela ne nous a pas ennuyés !

            En conclusion, je donne la mention « à lire » au troisième tome de cette série

Une sombre suite remplie de valeurs et de réponses et dont les pages vous attendent 

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Terreur déliquescente

Nom du livre	Terreur déliquescente
Auteur	Harry Adam Knight
Editeur	Fleuve noir
Année de parution	1986
Genre	Horreur, Fantastique
Nombre de pages	160 pages

Synopsis

            Rachel se figea soudain, bouche bée.

     Il y avait quelque chose dans le plus grand des bacs. Un cadavre. Une jeune femme blonde en blouse blanche. Elle flottait entre deux eaux. Noyée.

     Une horrible masse de filaments noirâtres sortait de sa bouche. Comme si une espèce d'algue gluante avait poussé dans ses muqueuses.

     Et cela bougeait !

     Rachel aurait voulu s'enfuir, mais son corps ne lui obéissait plus. Le cadavre pivota lentement. Et deux yeux d'un vert incandescent se posèrent sur elle.

Mon avis

            Terreur déliquescente, un titre et une couverture peu convaincants pour attirer le lecteur à choisir ce livre. De plus, c’est une publication mensuelle, on a de plus en plus peur de découvrir l’histoire qui se cache en-dessous, non de peur d’être effrayé mais peur d’être déçu. Une fois ses paramètres pris en compte, nous découvrons une lecture simple et agréable.

            Tout d’abord, comme je viens de le dire plus haut, l’histoire est très simple et agréable à lire. Petit bouquin à lire sur son transat ou allongé(e) dans les plages de sable blanc en été. Nous arrivons sur une plateforme pétrolière cachant un terrible monstre et les rescapés doivent survivre de ce monstre. Une histoire donc très simple mais l’auteur y a donné une petite touche un peu complexe pour nous donner un coup de théâtre à la fin de ce récit.

            Cependant, il ne faut pas non plus se dire que l’histoire est sensationnelle. J’ai remarqué une assez grosse contradiction (oui, ça existe) de la part de l’auteur. Je ne crois pas que ça a été fait exprès. Mais dès le moment où cette contradiction a été remarquée, notre lecture est un peu gênée par le fait qu’on réfléchisse sur cette erreur.

            Malgré ce petit défaut, nous pouvons observer l’originalité des personnages. Ce sont bien entendu des amis (vive les films d’aujourd’hui pour ce stéréotype) mais des amis faisant passer de la drogue d’une frontière à l’autre et dont les hommes sont bien entendus des hommes fonctionnant avec un cerveau de forme phallique. Pour ceux n’ayant pas compris ce dernier mot, le dictionnaire sera votre allié le plus précieux.

            Sur ce, je conclus donc cette lecture avec un petit avis. Je conseille ce livre à des esprits embrumés décidant de se plonger dans la lecture d’un bouquin sur les plages d’été

Un roman sans prise de tête après un ou deux cocktails et  à lire sur les plages d’été !

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Résident Evil (1) : la Conspiration d'Umbrella

Nom du livre	La Conspiration d’Umbrella
Auteur	S.D. Perry
Editeur	Milady
Année de parution	2014
Genre	Horreur, Science-fiction
Nombre de pages	278 pages

Synopsis

            Resident Evil : La Conspiration d'Umbrella

Raccoon City. Déjà quatre cadavres en un mois, tous victimes de ceux qu’on a surnommés les « tueurs cannibales », parce que les corps ont chaque fois été en partie dévorés.

Le dernier espoir de la ville pour endiguer cette violence sans précédent n’est autre que la fameuse escouade des S.T.A.R.S. Cette petite unité d’élite est censée pouvoir parer à toute éventualité... mais face à l’horreur qui les attend dans un manoir à l’abandon, il est bien possible qu’elle se trouve cette fois totalement dépassée.

Mon avis

            Resident Evil, c’est avant toutes autres choses, les films et les jeux-vidéos connus de tous, mettant en scène un monde infesté de zombies et des savants un peu fous travaillant pour une société très folle qui a mis au point Alice. Dans ce roman, nous ne la retrouvons pas. Dans ce roman, le monde n’est pas encore totalement infecté. Juste une ville, juste un endroit. Raccoon City où de suspectes morts ont eu lieues durant plusieurs mois.

            Tout d’abord, ce roman est simple à lire. Je l’ai lu en grande partie dans la voiture et comme vous le savez peut-être amis lecteurs, la voiture n’est pas un super endroit pour se concentrer dans un livre. Ici, l’auteur à jouer sur la simplicité des mots et des tournures de phrases. Cela permet au lecteur de lire ce roman dans une voiture, un endroit public ou même en compagnie de jeunes enfants décidés à jouer aux pirates … bon, peut-être pas jusqu’à ce point-là.

            Ensuite, le roman a une histoire (simple) vraiment distrayante. Nous sommes emportés dans l’histoire. Nous ne sommes pas totalement spectateur ni totalement protagonistes de l’histoire. Nous sommes entre les deux. Nous vivons ce qu’ils vivent mais nous ne ressentons pas leurs sentiments, ce qui est déjà pas mal et d’autres diront que ceci est nul. Mais pour une histoire comme ça, aux éléments si surnaturels, je trouve que cela est déjà fort bien.

            Pour terminer, il y a beaucoup de … vilains … plus extraordinaires les uns que les autres. Tout d’abord, nous sommes surpris que ces vilains ne soient pas présentés et inscrits comme dans un jeu vidéo mais petit bémol, la fin nous fait sentir comme dans un tel jeu et cela est un peu dommage. Il aurait pu mieux assurer sa fin car j’ai ressenti qu’il s’était trop inspiré du jeu.

            En conclusion, je recommande cette simple lecture à un public aimant la saga Resident Evil, c’est-à-dire du survival horror

Un roman à l’histoire simple et à la lecture aisée, totalement distrayante !

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L'écume des jours

Nom du livre	L’écume des jours
Auteur	Boris Vian
Editeur	Le livre de poche
Année de parution	2014
Genre	Surréalisme, Romantique
Nombre de pages	350 pages

Synopsis

            Un titre léger et lumineux qui annonce une histoire d’amour drôle ou grinçante, tendre ou grave, fascinante et inoubliable, composée par un écrivain de vingt-six ans. C’est un conte de l’époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et tragique, féerique et déchirant. Dans cette œuvre d’une modernité insolente, livre culte depuis plus de cinquante ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, la mort prend la forme d’un nénuphar, le cauchemar va jusqu’au bout du désespoir.

Mais seules deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l’amour absolu et la musique des Noirs américains…

Mon avis

            L’écume des jours, un titre ennuyeux ! Vous l’avez deviné, j’ai dû lire ce livre pour mon cher cours de français. Comme vous le savez, je lis les livres de cours deux fois. Je ne l’ai lu qu’une fois pour le moment. Mais un titre ennuyeux peut cacher une histoire bien allez-vous me dire ! Et bien, je vais vous donner ce livre dans les mains et vous laissez avec, je n’ai pas aimé.

            Tout d’abord, je ne suis pas un amateur de surréalisme. J’avoue que je tourne carré mais pas au point de trouver des angles droits dans un cercle triangulaire. Vous n’avez pas compris ? Bienvenue dans le surréalisme. Ce sont des choses simplement farfelues et incompréhensibles pour le grand public exprimant des choses absurdes et extrapolées. Après cela, nous apprenons les stratégies d’authentification pour encrer un récit dans le réel mais là tout est fait à l’inverse. Merci la logique de l’école. Je suis d’accord qu’on nous fasse découvrir des genres mais nous imposons. Si vous voulez nous faire découvrir le réalisme, donnez-nous un choix à faire.

            Ensuite, ce petit Vian est bien un comique en changeant le style de son écriture, en passant du registre familier au registre ampoulé et à certains moments, très ampoulé. Boris, tu pousses le bouchon un peu trop loin je crois. Je suis d’accord qu’on change de registre pour donner un genre mais comme on dit ici en Belgique, il ne faut pas pousser bobonne dans les orties.

            Pour terminer sur un point que chacun jugera positif ou négatif, la fin n’est pas une fin américaine, cela se termine mal ! Oui, je suis d’accord, belle initiative de sa part mais à quoi bon nous le dire tout le long du roman ? La fin peut être tragique mais quand je lis un livre, même si l’histoire est tragique, je ne tire pas une gueule d’enterrement. Pour moi, la lecture, doit t’emmener dans un lieu pour oublier tes soucis et là, tu es encore plus déprimé après. A quoi bon lire ce livre si c’est pour nous tirer une balle dans la tête après ?

Un roman déprimant à la triangulation du cercle tout à fait incompréhensible comme ce petit résumé.

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La Fournaise (2) : L'Isolement

Nom du livre	La Fournaise (2) : L’Isolement
Auteur	Alexander Gordon Smith
Editeur	Pocket Jeunesse
Année de parution	2013
Genre	Jeunesse, Science-fiction, Dystopie, Aventure
Nombre de pages	256 pages

Synopsis

            Alex et ses amis pensaient être enfin libres. Mais ils auraient dû se douter qu'on ne s'échappe pas si facilement de la Fournaise. Au lieu de ça, ils découvrent les horreurs qui se trouvent dans les tunnels situés sous la prison, bien pires que les panteleurs  ou le directeur... Et le temps est compté avant qu'ils ne se transforment eux aussi en monstres ! Dans ce gouffre obscur, leurs pires cauchemars vont prendre vie...

Mon avis

             La suite du premier tome qui m’avait donné une envie folle de continuer cette série de romans pour voir si oui ou non les héros allaient atteindre leur objectif.

            Tout d’abord, j’ai fort étonné de savoir si leur objectif avait été accompli ou non (je ne vais pas le dire, ça serait vous gâcher le suspense). Je pensais le contraire et quand j’ai su la vérité, ça m’a étonné et donné le sourire. Moi qui prévois certaines choses dans les romans (même si je me trompe souvent), je n’aurais pas envisagé directement cette option-là.

            Ensuite, nous somme de plus en plus étonnés à la lecture du roman. Nous apprenons des éléments et le roman devient de plus en plus complexe à chaque page. Nous apprenons que la Fournaise n’est pas simplement le lieu où les enfants sont prisonniers mais bien d’autres choses plus terribles.

            Pour terminer, il y avait aucun moment où le lecteur était un peu délaissé. Même dans les réflexions des héros, nous nous sentions concernés, impliqués. Je ne me suis pas ennuyé durant ma lecture et cela était fort agréable. Merci à l’auteur de ce fabuleux roman !

            En conclusion, je recommande ce livre aux jeunes et aux moins jeunes adolescents, amateurs de lecture.

Une suite fabuleuse ! Un roman toujours aussi entraînant et étonnant, ne vous laissant aucun moment de solitude !

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After saison 1

Nom du livre	After saison 1
Auteur	Anna Todd
Editeur	Hugo Roman
Année de parution	2015
Genre	Romantisme
Nombre de pages	600 pages

Synopsis

            Tessa est une jeune fille ambitieuse, volontaire, réservée. Elle contrôle sa vie. Son petit ami Noah est le gendre idéal. Celui que sa mère adore, celui qui ne fera pas de vagues. Son avenir est tout tracé : de belles études, un bon job à la clé, un mariage heureux... Mais ça, c'était avant qu'il ne ne la bouscule dans le dortoir. Lui, c'est Hardin, bad boy, sexy, tatoué, piercé, avec un " p... d'accent anglais ! " Il est grossier, provocateur et cruel, bref, il est le type le plus détestable que Tessa ait jamais croisé. Et pourtant, le jour où elle se retrouve seule avec lui, elle perd tout contrôle... Cet homme ingérable, au caractère sombre, la repousse sans cesse, mais il fait naître en elle une passion sans limites. Une passion qui, contre toute attente, semble réciproque... Initiation, sexe, jalousie, mensonges, entre Tessa et Hardin est-ce une histoire destructrice ou un amour absolu ? L'écriture rythmée d'Anna Todd rendra accros tous ses lecteurs.

Mon avis

             After saison 1, un livre qui m’a été recommandé par Petite Plume, grande amatrice de livres. Malgré que je n’aie pas pu arrêter de trouver les défauts de ce livre, je l’ai quand même lu et quelque peu apprécié.

            Tout d’abord, ce livre est un fanfiction des One Direction à la base, ce groupe populaire de jeunes hommes chantant et j’avais énormément peur de lire des choses sur eux, ce qui ne m’intéressait vraiment pas du tout car je lis un livre pour son histoire et non pour l’histoire du groupe de chanteurs. Je suis content ! En lisant les premières dizaines de pages, je n’ai vraiment pas eu le sentiment d’être dans une fanfiction évoluant autour d’Harry Styles, j’étais plongé dans une histoire.

            Cependant, nous ne pouvons pas dire que le style d’écriture soit très élaboré. Il manque une petite étincelle, une petite plume supplémentaire pour nous emporter un peu plus loin, un peu plus dans l’histoire. Cela me rappelle énormément les jeux de rôles écrits se déroulant entre deux personnes et où chacun fait agir son personnage. J’en ai écrit quelques-uns avec des autres personnes et en lisant cette histoire, j’ai l’impression de lire un de mes scénarios.

            Ensuite, vu ce manque de finesse de plume, nous n’avons pas pu nous plonger correctement dans l’histoire. En effet, les mots ne nous percutaient pas assez pour nous infliger des sentiments et je dois avouer que par plusieurs fois, j’étais déconnecté de l’histoire. Je ne vivais pas les disputes entre Hardin et Tessa, je les observais. Je n’étais pas excité par les moments intimes des deux tourtereaux, j’étais un voyeur sans aucun sentiment et cela est dommage.

            En conclusion, il ne faut pas oublier que c’est le premier roman d’Anna Todd et que malgré ses défauts d’écriture, j’ai lu son livre. Je ne le recommande qu’aux personnes aimant les histoires d’amour

 Un premier roman de l'auteur, un premier roman romantique à lire par les amateurs