jeudi 30 avril 2015

Une ardente patience

Nom du livre
Une ardente patience
Auteur
Antonio Skarmeta
Editeur
Seuil
Année de parution
2005
Genre
Réalisme, Roman de vie, Romantisme
Nombre de pages
155 pages

Synopsis

            Qu'est-ce qu'un poète pour Mario Jiménez, le petit facteur de l'île Noire, dont l'unique client n'est autre que Pablo Neruda ? Quelqu'un qui sait mieux que quiconque manier les phrases et qui l'aidera donc à faire la cour à Béatrice, la fille de l'aubergiste ? Neruda se laisse séduire par le petit facteur en quête d'un " art poétique ". Et Mario, impressionné, va découvrir la " force du verbe ". Une grande tendresse s'établit entre ces deux " hommes de lettres ". Mais les rivages marins s'obscurcissent bientôt, jusqu'à la tragédie finale : la mort du poète, et au-delà celle d'Allende et de la démocratie chilienne. Un roman qui a été adapté au cinéma, sous le titre Le Facteur, avec dans les rôles principaux Philippe Noiret et Massimo Troisi.

Mon avis

            Une ardente patience, un livre imposé par la dictature qu’est l’école. Un livre lu l’an passé, en janvier, cela fait donc plus d’un an et 3 mois que je l’ai lu pour un total de trois fois. Mais est-ce que j’ai aimé ce livre pour autant ? Pas vraiment, non.

            Tout d’abord, nous allons commencer par le beau point de ce livre. Les relations entre les personnages est juste magnifique. Nous avons d’un côté Mario avec une belle jeune femme qu’il va essayer de charmer et nous allons vivre leur relation mais nous avons aussi la relation entre Mario et l’écrivain, Pablo Neruda. Une relation d’un père envers un fils, une relation entre vieux amis, une relation à caractères changeants. Une relation hors du commun.
            Malheureusement, la lecture ne se fait pas que sur les relations des personnages et il y a un manque d’action dans l’histoire. L’histoire est assez lente et comme vous le savez, j’aime les histoires qui bougent, qui sont rythmées, qui sont remplies de péripéties et là, non, bim, ça coince. C’est comme si vous mettiez un tortue avec un lion, elle va se faire bouffer et là, j’ai bouffé le livre.
            Pour terminer, les métaphores, les comparaisons et autres procédés poétiques étaient une bonne idée de la part de l’auteur sauf que là, ça nous empêche parfois de comprendre le sens de la phrase et nous devons la relire, ce qui aussi embêtant que ma petite sœur (oui, j’ai utilisé une comparaison). Sans oublier qu’à la fin, l’auteur nous a écrit un charabia incompréhensible.

            En conclusion, je n’ai pas aimé ce roman mais si quelques rigolos ont envie de le lire, bonne lecture mais je ne le recommande pas sauf aux personnes ayant des goûts opposés aux miens.


Un roman aux métaphores incompréhensibles, aux relations touchantes et à l’action paresseuse



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