dimanche 19 avril 2015

L'écume des jours


Nom du livre
L’écume des jours
Auteur
Boris Vian
Editeur
Le livre de poche
Année de parution
2014
Genre
Surréalisme, Romantique
Nombre de pages
350 pages

Synopsis

            Un titre léger et lumineux qui annonce une histoire d’amour drôle ou grinçante, tendre ou grave, fascinante et inoubliable, composée par un écrivain de vingt-six ans. C’est un conte de l’époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et tragique, féerique et déchirant. Dans cette œuvre d’une modernité insolente, livre culte depuis plus de cinquante ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, la mort prend la forme d’un nénuphar, le cauchemar va jusqu’au bout du désespoir.
Mais seules deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l’amour absolu et la musique des Noirs américains…

Mon avis

            L’écume des jours, un titre ennuyeux ! Vous l’avez deviné, j’ai dû lire ce livre pour mon cher cours de français. Comme vous le savez, je lis les livres de cours deux fois. Je ne l’ai lu qu’une fois pour le moment. Mais un titre ennuyeux peut cacher une histoire bien allez-vous me dire ! Et bien, je vais vous donner ce livre dans les mains et vous laissez avec, je n’ai pas aimé.

            Tout d’abord, je ne suis pas un amateur de surréalisme. J’avoue que je tourne carré mais pas au point de trouver des angles droits dans un cercle triangulaire. Vous n’avez pas compris ? Bienvenue dans le surréalisme. Ce sont des choses simplement farfelues et incompréhensibles pour le grand public exprimant des choses absurdes et extrapolées. Après cela, nous apprenons les stratégies d’authentification pour encrer un récit dans le réel mais là tout est fait à l’inverse. Merci la logique de l’école. Je suis d’accord qu’on nous fasse découvrir des genres mais nous imposons. Si vous voulez nous faire découvrir le réalisme, donnez-nous un choix à faire.
            Ensuite, ce petit Vian est bien un comique en changeant le style de son écriture, en passant du registre familier au registre ampoulé et à certains moments, très ampoulé. Boris, tu pousses le bouchon un peu trop loin je crois. Je suis d’accord qu’on change de registre pour donner un genre mais comme on dit ici en Belgique, il ne faut pas pousser bobonne dans les orties.
            Pour terminer sur un point que chacun jugera positif ou négatif, la fin n’est pas une fin américaine, cela se termine mal ! Oui, je suis d’accord, belle initiative de sa part mais à quoi bon nous le dire tout le long du roman ? La fin peut être tragique mais quand je lis un livre, même si l’histoire est tragique, je ne tire pas une gueule d’enterrement. Pour moi, la lecture, doit t’emmener dans un lieu pour oublier tes soucis et là, tu es encore plus déprimé après. A quoi bon lire ce livre si c’est pour nous tirer une balle dans la tête après ?




Un roman déprimant à la triangulation du cercle tout à fait incompréhensible comme ce petit résumé.



Tu as déjà lu ce livre et tu aimerais partager ? Tu as envie de le lire et tu as peut-être des questions à me poser ? Ou peut-être que tout simplement tu veux faire plaisir. Laisse donc un commentaire.

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