mardi 3 février 2015

L’Épreuve (03) : le remède mortel


Nom du livre
L’Épreuve (03) : le remède mortel
Auteur
James Dashner
Editeur
Pocket Jeunesse
Année de parution
2014
Genre
Jeunesse, science-fiction, aventure
Nombre de pages
383
Format lu
E-book

Synopsis

            Présentation de l'éditeur

LE TEMPS DES MENSONGES EST TERMINÉ. Le WICKED a tout volé à Thomas : sa vie, sa mémoire et maintenant ses seuls amis. Mais l'épreuve touche à sa fin. Ne reste qu'un dernier test... Terrifiant. Cependant, Thomas a retrouvé assez de souvenirs pour ne plus faire confiance à l'organisation. Il a triomphé du Labyrinthe. Il a survécu à la Terre Brûlée. Il fera tout pour sauver ses amis, même si la vérité risque de provoquer la fin de tout.

Biographie de l'auteur

James Dashner est né en 1972 en Georgie aux États-Unis. Il est l'auteur de nombreux romans fantasy pour la jeunesse : The 13th Reality, The Jimmy Fincher Saga... Sa série L’Épreuve, créée en 2009, devient rapidement un best-seller. Une nouvelle série très attendue sortira en 2015 chez Pocket Jeunesse.

Mon avis

            Dernier tome d’une trilogie qui nous a assez fait vibrer. J’ai eu peur de lire ce dernier tome face à la déception que j’ai eu avec le dernier livre de la saga Divergent (qui n’est pas encore posté sur le blog). J’ai quand même décidé de le lire et je n’ai pas été déçu.
            Tout d’abord, nous évoluons toujours avec nos héros et on pourrait croire que c’est un livre plus lent vu que c’est la fin. C’est vrai ! Il est plus lent mais l’action est toujours omniprésente. Cela est tout à fait bien car l’auteur ne change pas son style d’écriture, il laisse des scènes d’action pour son ami, le lecteur.
            Ensuite, nous nous demandons comment cela va finir et on devine partiellement cette fin mais l’auteur doit toujours susciter en nous le plaisir. J’avoue que là, tout était presque prévisible mais il y a quelques éléments, à la toute fin, qui étonnent le lecteur dans le bon sens du terme.
            De plus, chers amis lecteurs, je n’ai pas remarqué le nombre de pages. L’histoire était tellement intéressante que je n’ai pas vu ces quelques 383 pages voler et cela prouve que cette lecture n’est pas mortelle.
            Cependant, grâce ou à cause de ce troisième livre, nous voyons une erreur de l’auteur. Il ne nous attache pas assez aux personnages. Nous évoluons dans l’histoire à côté de lui mais pas assez dans sa peau. On peut se sentir dans la peau de Thomas, le héros mais jamais dans celle des autres et cela est bien dommage car il pourrait toucher plus ses lecteurs du côté émotionnel.

            En conclusion, je vous souhaite une bonne fin de trilogie.


dimanche 1 février 2015

Lectures du mois de janvier

Bonjour chères jeunes gens,

Je vais vous mettre la liste des livres que j'ai lu ce mois de janvier 2015

04/01/15 King Stephen Ça : tome 2 640
05/01/15 Rowling J.K. Harry Potter à l'école des sorciers (1) 308
13/01/15 Dashner James L’Épreuve (2) : la terre brûlée 414
16/01/15 Lang John Le Donjon de Naheulbeuk 624
16/01/15 Wright Suzette La meute du Phénix (1) : Trey Coleman 573
18/01/15 Dumas Alexandre La femme au collier de velours 129
21/01/15 Collectif Osez 20 histoires érotiques de Noël 180
25/01/15 Dumas Alexandre La femme au collier de velours 129
29/01/15 Kirkman Robert The Walking Dead (2) : la route de Woodbury 320





107 132,68% 3317

Je vais un peu vous expliquer les détails

Les dates ne correspondent pas le début de la lecture du livre mais sa fin (ex : j'ai terminé de lire le deuxième tome de Ça le 4 janvier)
Nous avons les auteurs (nom + prénom) et les titres des livres. A droite, il y a le nombre de pages du livres

Ce mois-ci, j'ai lu 3317 pages pour 9 livres, soit une moyenne de 369 pages par livre
Cela me fait une moyenne de 107 pages par jour
J'ai atteint 132,68 % de mon objectif qui se situe à 2500 pages par mois

L'Epreuve (02) : la Terre brûlée



Nom du livre L’Épreuve (02) : la Terre brûlée
Auteur James Dashner
Éditeur Pocket Jeunesse
Année de parution 2013
Genre Jeunesse, science-fiction, aventure
Nombre de pages 414
Format lu E-book

Synopsis

Présentation de l'éditeur

ET SI LA VIE ÉTAIT PIRE HORS DU LABYRINTHE ?Thomas en était sûr, la sortie du labyrinthe marquerait la fin de l'Épreuve. Mais à l'extérieur il découvre un monde ravagé. La terre est dépeuplée, brûlée par un climat ardent. Plus de gouvernement, plus d'ordre... et des hordes de gens infectés, en proie à une folie meurtrière, errent dans les villes en ruines. Au lieu de la liberté espérée, Thomas se trouve confronté à un nouveau défi démoniaque. Au coeur de cette terre brûlée, parviendra-t-il à trouver la paix... et un peu d'amour ?

Biographie de l'auteur

James Dashner est né en 1972 en Georgie aux États-Unis. Il est l'auteur de nombreux romans fantasy pour la jeunesse. Sa nouvelle série The Maze Runner, créée en 2009, devient rapidement un best-seller.

Mon avis

Le Labyrinthe, la suite. Je me demandais ce que j'allais découvrir hors du labyrinthe qui a été mon lieu d'habitation pendant quelques jours. J'ai évolué dans la peau de Thomas, le héros et maintenant, je me retrouve dans le monde réel. J'avais peur d'être déçu et d’évoluer dans un monde que je ne connaissais pas, déçu de ne plus ressentir les mêmes aventures que dans le Labyrinthes mais j'ai adoré.
Tout d'abord, les scènes d'action sont moins censurées. Nous sortons du registre « pipi-caca » pour aller dans la cour des grands. Or, si vous avez lu le premier tome, vous savez que l'action état déjà assez violente mais ici, c'est encore mieux ! En effet, nous entrons dans des scènes où notre cerveau, où le cerveau d'un jeune doit imaginer des choses crues, réelles.
Ensuite, en reprenant le dernière phrase du premier argument, j'aimerais dire que philosophiquement, nous retrouvons notre société dans ce livre. Une poignée de gens ayant des fonds énormes qui gouverne un peuple affamé, un peuple fou. Non, ce n'est pas la société de maintenant mais ce qu'elle pourrait être demain et instinctivement, nous le sentons en le lisant donc l'histoire nous touche beaucoup plus.
Pour finir, il y a une belle évolution dans les personnages et leurs pensées. Nous ne savons plus quoi penser, nous ne savons plus qui croire, nous n'avons plus de référence. Nous sommes plongés dans une complexité de nœuds sociaux entre les personnages et pour ne pas crever, nous devons avancer avec eux, les comprendre, les animer ... Formidable !

En conclusion, je vous recommande chaleureusement ce livre si vous avez aimé le premier tome cette suite est juste exceptionnelle et est moins stéréotypée.


samedi 31 janvier 2015

La Femme au collier de velours



Nom du livre La Femme au collier de velours
Auteur Alexandre Dumas
Éditeur Librio (de J'ai lu)
Année de parution 2005
Genre Réalisme, Fantastique, Romantique,
Nombre de pages 158 (mais l'histoire = 129 pages)
Format lu Papier

Synopsis

1793, année noire. C'est le règne de la Terreur. L'ombre de l'échafaud plane sur Paris. Et celle du diable n'est pas loin...
Il s'appelle Hoffmann. Il a quitté l'Allemagne pour monter à l'assaut de ses rêves. Car il en est convaincu: le monde est un théâtre et Paris est sa scène. Et si le décor avait un envers? Pire que dans un conte! Amours vénales et vénéneuses, rencontres magiques et terrifiantes, ivresse et folie du jeu!

Mon avis

La femme au collier de velours, le titre d'un des livres de français que je devais lire pour cette année. Petit livre, vieil auteur, je savais que je n'allais pas aimer le livre mais je le lis quand même et mes craintes se sont avérées vraies.
Tout d'abord, les descriptions s'étalent en longueur et cela est d'un ennui mortel. Lire chaque description. Je sais bien que cela est fait exprès, que cela a donné naissance au réalisme, etc mais quand même ! Nous faire lire ça est une torture.
Ensuite, nous nous sentons pas proche du héros qui est Hoffmann. On le voit, on n'est pas lui. On sait ce qu'il ressent, on ne ressent pas. On apprend ce qu'il pense, on ne le pense pas. On est vraiment détaché du héros et si on est détaché du héros, on est perdu dans l'histoire. Alors comment aimer un livre dont nous sommes rejettés par le narrateur ? Nous ne savons pas entrer dans l'histoire, le narrateur, par des descriptions, par des tournures de phrases, par son envie nous bloque l'accès à tous les personnages.
Pour finir, l'histoire est complètement insensée et nulle. Il n'y a pas d'autres mots. Insensée car elle n'est pas réaliste du tout à la fin. Soit on écrit un roman fantastique soit on écrit un roman réaliste mais on ne commence pas à mélanger les deux. Le résultat est vraiment déroutant et ennuyant. Nulle car nous ne comprenons pas l'histoire et elle est tellement plate. Les moments d'action nous paraissent tellement lointains, nous évoluons dans une histoire plate, sans vie.
En conclusion, je ne vous recommande pas de lire ce livre sauf si vous avez une prof vicieuse qui veut votre mort



L'Epreuve (01) : le Labyrinthe



Nom du livre (+ original) L'Epreuve (01) : le Labyrinthe
Auteur James Dashner
Editeur Pocket Jeunesse
Année de parution 2012
Genre Science-fiction, jeunesse, aventure
Nombre de pages 404
Format lu E-book

Synopsis

Présentation de l'éditeur
Thomas, dont la mémoire a été effacée, se réveille un jour dans un nouveau monde où vivent une cinquantaine d’enfants. Il s’agit d’une ferme située au centre d’un labyrinthe peuplé de monstres d’acier terrifiants. Les ados n’ont aucun souvenir de leur vie passée et ne comprennent pas ce qu’ils font là. Ils n’ont qu’un seul désir, trouver la sortie. Pour ce faire, les coureurs parcourent chaque jour le labyrinthe pour en dresser les plans – des plans qui changent sans cesse, puisque les murs se déplacent chaque nuit. Le risque est grand mais, dès son arrivée, Thomas a une impression de déjà-vu, il sait qu’il veut être coureur et résoudre l’énigme du labyrinthe.

Mon avis

Le Labyrinthe, film événement ! Voilà mon premier contact avec ce roman. Non, je divague, mon premier contact était avec le jeu sur GSM. Je ne me doutais pas qu'il s'agissait d'un roman et encore moins d'une trilogie.
Quand j'ai commencé à lire ce roman, j'ai lu un Hunger Games pour jeunes. Non, il n'y a pas d'arène (plus ou moins). Mais je veux dire que l'histoire reflète celle de la saga Hunger Games ; dystopie, autorité toute puissante, rebellion ... Si vous avez aimé Hunger Games, pourquoi pas essayer de lire le début de cette trilogie ?
Tout d'abord, le livre est très rythmé, action sur action et contrairement à Hunger Games, les moments de réflexion sont plus courts. Un livre dont les péripéties s'enchaînent rapidement et où elles sont omniprésentes : bagarres, pièges, idées ... Tout cela s'enchaîne à un rythme fracassant, histoire de vous tenir reveillés.
Ensuite, cette idée de monde parfait qui est tout à fait inconcevable, cette dystopie est une idée vraiment géniale et alléchante pour tout lecteur. On se range du côté du héros, des héros et on veut se rebeller contre les tenanciers de notre emprisonnement. Ceci nous pousse à lire ces pages qui deviennent à chaque moment un peu plus tendues, un peu plus près du but, un peu plus près de notre vengeance.

Pour finir, les héros sont des jeunes de notre âge. Il est donc très facile de se glisser dans leur peau et de vivre leur vie, de vivre leurs aventures, leurs peurs, leurs joies. Nous nous sentons dans la peau des héros, nous sommes les héros


lundi 19 janvier 2015

Harry Potter (01) : Harry Potter à l'école des sorciers

Nom du livre Harry Potter à l'Ecole des Sorciers
Auteur J.K. Rowling
Editeur Gallimard Jeunesse (je l'ai lu en EPUB)
Année de parution 1998
Genre Fantastique, jeunesse
Nombre de pages 308 pages
Synopsis

Le survivant

Pour et Mrs Dursley, qui habitaient au 4, Privet Drive, avaient toujours affirmé avec la plus grande fierté qu'ils étaient parfaitement nor­maux, merci pour eux. Jamais quiconque n'aurait imaginé qu'ils puissent se trouver impliqués dans quoi que ce soit d'étrange ou de mystérieux. Ils n'avaient pas de temps à perdre avec des sornettes.
Mr Dursley dirigeait la Grunnings, une entreprise qui fabriquait des perceuses. C'était un homme grand et massif, qui n'avait pratiquement pas de cou, mais possédait en revanche une moustache de belle taille. Mrs Dursley, quant à elle, était mince et blonde et disposait d'un cou deux fois plus long que la moyenne, ce qui lui était fort utile pour espionner ses voisins en regardant par-dessus les clôtures des jardins. Les Dursley avaient un petit garçon prénommé Dudley et c'était à leurs yeux le plus bel enfant du monde.
Les Dursley avaient tout ce qu'ils voulaient. La seule chose indésirable qu'ils possédaient, c'était un secret dont ils craignaient plus que tout qu'on le découvre un jour. Si jamais quiconque venait à entendre parler des Potter, ils étaient convaincus qu'ils ne s'en remettraient pas. Mrs Potter était la sœur de Mrs Dursley, mais toutes deux ne s'étaient plus revues depuis des années. En fait, Mrs Dursley faisait comme si elle était fille unique, car sa sœur et son bon à rien de mari étaient aussi éloignés que possible de tout ce qui faisait un Dursley. Les Dursley tremblaient d’épouvante à la pensée de ce que diraient les voisins si par malheur les Potter se montraient dans leur rue. Ils savaient que les Potter, eux aussi, avaient un petit garçon, mais ils ne l'avaient jamais vu. Son existence constituait une raison supplémentaire de tenir les Potter à distance : il n'était pas question que le petit Dudley se mette à fréquenter un enfant comme celui-là.

Mon avis

Comment être un grand fan de lecture si on ne lit pas Harry Potter, cette saga connue dans le monde entier et dont les films ont fait fureur ?
Je l'ai lu début de cette année, durant mes journées d'hiver, bien au chaud dans ma chambre. Un livre qui se laisse lire par la simplicité de sa grammaire et de son vocabulaire mais complexe dans les rapports entre personnages et tout ce qui en découle.
J'ai aimé le livre car c'est une histoire entraînante avec plusieurs rebondissements. Nous ne restons pas dans la monotonie, dans un roman dont l'action est plate, dont le rythme est lent et constant.
Ensuite, le roman incarne de jeunes héros et nous amusons de leurs réactions, nous pouvons mieux les comprendre, nous, adolescents, enfants d'hier. Des héros jeunes, c'est de la cupidité, de la stupidité mais tellement plus de charme et d'arrogance, tellement plus de nous.
Pour terminer, cet idée d'école de magie, de ces magiciens en apprentissage est tout à fait la bienvenue après les péripéties de Gandalf. Nous évoluons dans un monde à base réalisté qui a été détourné dans une atmosphère fantastique. Épatant !


dimanche 18 janvier 2015

Ça (1 et 2) - Stephen King

Nom du livre (+ original)Ça (It)
AuteurStephen King
ÉditeurLe Livre de Poche
Année de parution2002
GenreFantastique, horreur
Nombre de pages1440 (800 + 640)
Synopsis

Enfants, dans leur petite ville de Derry, Ben, Eddie, Richie et la petite bande du « Club des ratés », comme ils se désignaient, ont été confrontés à l'horreur absolue ça, cette chose épouvantable, tapie dans les égouts et capable de déchiqueter vif un garçonnet de six ans...
Vingt-sept ans plus tard, l'appel de l'un d'entre eux les réunit sur les lieux de leur enfance. Car l'horreur, de nouveau, se déchaîne, comme si elle devait de façon cyclique et régulière frapper la petite cité.

Entre le passé et le présent, l'enfance et l'âge adulte, l'oubli des terreurs et leur insoutenable retour, l'auteur de Sac d'os nous convie à un fascinant voyage vers le Mal, avec une de ses oeuvres les plus amples et les plus fortes.

Mon avis


Tout d'abord, je dois signaler au lecteur que je suis un grand fan de Stephen King, cet auteur au talent incontestable de sa plume. Si ous n'aimez pas Stephen King ou si vous n'aimez pas l'horreur, arrêtez de lire cet avis.
Pourquoi ai-je aimé ce livre ? C'est une question que lecteur, nous nous posons quand nous devons dire pourquoi nous préférons tel ou tel livre.
Le premier argument est la présence de l'horreur. En effet, nous n'évoluons que dans un monde où nous subissons frissons et attentes angoissées générés par la finesse de la plume de l'auteur, une finesse de plume qui nous ligote entre les phrases, où nous subissons les assauts de l'histoire. En d'autres termes, nous ne lisons pas les angoisses du héros, nous lisons les angoisses qui nous enveloppe, nous ressentons les peurs, nous ressentons ce monde obscur et nous frissonons.
Ensuite, quelle belle idée de mettre en jeu des personnages tantôt jeunes tantôt adultes et de passer d'un chapitre à l'autre, d'un âge à un autre, d'uné époque à une autre avec autant de grâce, autant de suspense. Tantôt nous nous retrouvons avec un bande de gosses qui s'amusent. innocemment, qui jouent, qui sont innocents; tantôt nous sommes accompagnés d'adultes qui ont diverses carrières, diverses histoires et dont le passé enfantin revient en fragments.
Pour conclure sur un troisième point, le méchant de l'histoire est bien complexe, bien effrayant. Il se révèle sous la forme de votre plus grande peur et cette peur es exploitée jusqu'à son apogée. Un monstre, une horreur ambulante, aux motivations primaires et à l'intelligence complexe. Un monstre vous happant dans sa tanière et vous dévorant. Frissons garantis.