Nom du livre
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Il était une fois … peut-être pas
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Auteur
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Akli Tadjer
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Editeur
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Pocket
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Année de parution
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2011
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Genre
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Roman de vie, réalisme
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Nombre de pages
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254 pages
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Synopsis
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À 42 ans, Mohamed ne vit que pour
Myriam, sa fille. Aussi Paris lui semble-t-il bien terne depuis qu'elle est
partie étudier à La Navale de Toulon. Il parle encore, parfois, aux peluches
dans sa chambre d'enfant. Elles l'écoutent narrer ces histoires qu'il contait à
Myriam - formidable généalogie où s'enlacent ses aïeux, l'amour, le bled, la
guerre d'Algérie... Et voilà que Myriam lui réserve une surprise de taille :
son nouveau petit ami. Un gaulois blanc comme un linge. " Le gus "
s'appelle Gaston. À Mohamed de l'héberger, puisqu'il compte s'établir à Paris :
la vie solitaire de Mohamed prend un virage décapant. Sa fille grandit. Il est
temps de lui révéler le dernier conte de la dernière nuit...
Mon avis
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« Il était une fois … peut-être pas »,
peut-être le sauveur de ma littérature scolaire de l’année et bien non ! Au
départ, jusqu’aux premières pages, je me suis dit que j’allais enfin aimer un
des romans de l’école et puis, je me suis rendu compte que le livre était nul à
chier. Je le relis (toujours quand c’est un livre scolaire) et je le trouve
encore plus … ennuyant. Restons polis quand même !
Tout d’abord,
ce bouquin est très mal écrit. Le livre est quand même destiné à des
adolescents de 16/17 ans dans notre classe. Des adultes l’ont déjà lu. Et puis,
quand on est écrivain, on fait attention
sa grammaire. Allons voir à la page 148 du livre : « Sans
vouloir être désobligeant son speech ne décollait pas du niveau de rédac de
sixième ». Il nous prend pour des cons ? C’est un langage destiné à
des enfants de … sixième voire moins. Il manque des signes de ponctuations, des
tournures plus stylisées …
Ensuite, l’histoire
ne nous fait pas oublier ce manque de génie littéraire. Elle est complètement …
ah … je baille. Elle nous endort ! Un écrivain doit tenir son lecteur dans
le suspense, dans l’envie de connaître la suite et là, la seule envie que j’ai
eue, c’est de fermer ce livre à tout jamais. Au moins, il me donne des envies.
Pour
terminer sur une note légèrement plus positive, j’ai trouvé que les « contes
et légendes » était une idée originale dans le roman. Je n’ai jamais eu
affaire avec cela auparavant. Cependant, la façon de présenter cette idée est
un peu mal fichue car le protagoniste Mohamed est pris pour une personne folle
En
conclusion, choisissez un autre livre si vous voulez l’acheter car il n’en vaut
pas la peine
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