Bob Morane : la Vallée infernale

Nom du livre	Bob Morane : la Vallée infernale
Auteur	Henri Vernes
Editeur	Gérard et Co
Année de parution	1953
Genre	Aventure, Jeunesse
Nombre de pages	155 pages

Synopsis

            "Ses mains nerveuses, crispées sur les commandes, son visage osseux tendu en avant, mais sa large poitrine gonflée cependant par une sourde allégresse, Bob Morane pointait vers le ciel le nez de son appareil, tentant d'éviter le contact de la montagne. Cette lutte de l'homme et de l'avion unis pour former un seul être, lui rappelait l'époque où, Commander de la R.A.F., il menait son escadrille au combat. Mais à présent, au lieu d'un Spitfire, Morane pilotait un bimoteur de transport. Ses ennemis étaient la montagne et la jungle de Nouvelle-Guinée et il était seul à les affronter. Depuis sa plus tendre enfance, le Français avait possédé un goût marqué pour l'aventure, et cette vie dangereuse comblait aujourd'hui tous ses désirs..."

Morane va être gâté : coups de théâtre incessants, péripéties innombrables, situations inextricables, la Vallée Infernale ne lui épargnera rien. Et Morane devra déployer toute sa force et toute son ingéniosité pour vaincre les obstacles que la nature et des hommes rusés ou sanguinaires ont dressés devant lui.

Mon avis

             Bob Morane, héros de la chanson d’Indochine. Musique au rythme endiablé. Que fut ma découverte lorsque mon père me donna tous ses Bob Morane dans une caisse en carton. D’abord hésitant, je les range. Enfin, j’en lis un, pendant les cours. Je comprends pourquoi Indochine était endiablé…

            Tout d’abord, le roman est bien écrit. Même si le style utilisé date de 1953, il est facile à lire et nous sommes directement transportés dans l’histoire. Malgré l’utilisation de la troisième personne, nous vivons dans l’histoire. Nous la vivons à la place de la regarder et cela est vraiment bien.

            Ensuite, il y a une fabuleuse histoire qui se déroule. Aujourd’hui, pour se transporter dans le monde de l’imaginaire, nous créons des pouvoirs magiques, des mondes imaginaires … Alors qu’ici, nous sommes transportés dans l’imaginaire avec des éléments réels : forêts, tigres, Amazones …      Pour terminer, il y a beaucoup d’action. Chaque scène se précipité à une cadence infernale et à peine sortie d’une, nous sommes de nouveau plongés dans une autre scène d’action. Parfois, l’auteur nous laisse reprendre notre souffle pendant quelques pages pour nous servir un repas bien consistant

            En conclusion, chers lecteurs, je recommande ce livre pour un jeune public