Les fausses innocences

Nom du livre	Les fausses innocences
Auteur	Armel Job
Editeur	Mijade
Année de parution	2012
Genre	Policier, Suspense, Historique
Nombre de pages	188 pages

Synopsis

            Lorsque Mathilda Stembert vient déclarer la mort de son mari, décédé accidentellement en Allemagne de l'Est, le maire du village, Roger Müller, sait qu'elle ment. La veille, dans la nuit, il a convaincu le docteur Stembert de ne pas quitter sa femme pour rejoindre sa maîtresse allemande.Roger Müller aime Mathilda Stembert depuis l'adolescence.Doit-il exiger une enquête sur ce décès improbable comme son devoir l'exige ou accepter les dires de la femme qu'il aime ? Orfèvre des mots et des sentiments, élaborant des histoires toujours plus subtiles, Armel Job nous offre une intrigue digne des meilleurs films d'Alfred Hitchcock.

Mon avis

             Sans me tromper, et ce malgré ma nuit épouvantable de sommeil, je peux dire que « Les fausses innocences » était le meilleur livre scolaire de ma cinquième secondaire. Tout d’abord, nous avions le choix du roman tant qu’Armel Job en était l’auteur. Mais vous vous posez sans doute pourquoi Armel Job ? La réponse est simple. Nous devions lire une de ses œuvres car il venait à l’école pour parler de ses œuvres, de son métier. Une entrevue intéressante mais où une des profs présentes avait la langue bien pendue.

            Tout d’abord, ce livre est très intéressant à lire pour son suspense. Nous sommes plongés dans l’enquête de cette mort et j’ai essayé de découvrir l’assassin. En vain même si maintenant cela paraissait tellement logique. Nous sommes plongés dans une recherche de la vérité et au fur et à mesure de notre lecture, les pièces du puzzle s’assembleront pour former l’image finale, les secrets se révéleront pour détruire ce tissu de mensonge qui dure depuis plusieurs années, mais que faire quand nous savons la vérité ? Que va décider Roger Müller ? La vérité est-elle vraiment intéressante ?

            Ensuite, l’auteur a utilisé la technique du retour en arrière dans son livre, plus connue sous le nom de flashback. Généralement, je n’aime pas cette utilisation car je ne comprends pas tout de suite que nous revenons en arrière mais ici, tout était clair et je ne me suis pas retrouvé perdu dans les souvenirs du passé des personnages. Cela témoigne d’une bonne utilisation de la plume, d’un style d’écriture très compréhensible.

            Pour terminer, les points de vue des différents protagonistes de l’histoire est un procédé qui est tout aussi intéressant que le précédent. De cette manière, nous pouvons observer la psychologie, le passé, les secrets de chacun. Nous pouvons essayer de retracer ce qui s’est vraiment passé cette nuit-là et comprendre les raisons de tels actes.

            En conclusion, ce livre d’une plume belge est agréable à lire pour ses procédés littéraires et son suspense omniprésent, un roman que je recommande à partir de 14/15 ans.

"Pour Kevin, amicalement, Armel Job"

Un petit roman agréable à lire pour ses procédés littéraires et son suspense

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