Désolation

Nom du livre	Désolation
Auteur	Stephen King
Editeur	Albin Michel
Année de parution	1996
Genre	Fantastique, Horreur
Nombre de pages	576 pages

Synopsis

            Génial metteur en scène de nos terreurs, Stephen King n'était jamais allé aussi loin dans l'exploration des zones où le Bien et le Mal s'affrontent. Avec ce thriller au goût d'Apocalypse, il nous fait découvrir le vrai sens du mot Désolation.

Mon avis

             Désolation. Janvier 2014. Mon premier gros bouquin de l’année passée et mon premier challenge donc. C’était un défi pour moi de le lire et j’y suis arrivé. Un roman que je conseille. Vive Stephen King.

            Tout d’abord, comme je l’ai écrit dans les autres chroniques de livres écrits par Stephen King, l’auteur possède un style très envoûtant, très terrifiant. Chaque phrase est tournée de manière à vous donner la chair de poule, à vous faire douter de votre rationalité, à vous terrifier et cela, se passe sur les 576 pages du livre. 576 pages qui vont vous glacer le sang, vont vous donner des cauchemars. Bien entendu, je parle du sens figuré mais les plus sensibles d’entre vous pourraient vraiment cauchemarder à cause/grâce à ce livre. Stephen King est sans aucun doute l’un des maîtres de l’épouvante.

            Ensuite, l’histoire nous happe directement dans son univers et en plus de ressentir la peur, nous évoluons dans une aventure remplie de rebondissements et d’action. Certains auteurs ne suscitent la peur que par les sentiments, les réflexions saugrenues ou de l’action stupide. Ici, l’auteur nous montre son talent en nous faisant peur quand on ne s’y attend pas. Par exemple, nous sommes dans un chantier de construction et tout d’un coup, la radio braille une vieille chanson d’un air lugubre. Un passage qui m’est resté après un an et demi de lecture, il faut le faire !

            Pour terminer, ce livre se lit vite malgré son nombre assez conséquent de pages et cela ne doit pas vous freiner si vous désirez le lire. Certains livres plus minces se lisent plus longtemps car nous n’accrochons pas à l’histoire et ici, la peur pourrait nous rebouter à prendre ce livre comme lecture mais elle agit autrement, elle nous happe et nous sommes drogués par l’histoire qui nous est présente devant les yeux et nous ne pouvons pas nous arrêter de la lire jusqu’à la dernière goutte, jusqu’au point final.  

            En conclusion, je recommande ce magnifique livre aux amateurs d’épouvante, de bon épouvante !

Un livre addictif à la peur omniprésente et intéressante

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