samedi 30 avril 2016

Réception du 29 avril

Nom du livre
Auteur
Jean-Charles Sommerard
Editeur
France Loisirs
Année de parution
2016
Genre
Documents, Essai
Nombre de pages
128 pages

Synopsis
           
Et si les huiles essentielles devenaient votre atout légèreté ? Avec elles, pas question de régime fade et drastique. Place aux rituels sensoriels !

À cuisiner, à boire ou à s'appliquer en massage, huiles essentielles et eaux florales sont vos meilleures alliées pour purifier et détoxifier votre organisme, avant d'apprendre avec elles à conserver une silhouette affinée.

Selon vos envies ou les zones que vous souhaitez traiter, vous trouverez la recette dont vous avez besoin : jambes légères, anti-peau d'orange, taille fine, en cas d'excès... Ainsi qu'un programme à suivre en fonction de votre morphologie.

À découvrir enfin le portrait détaillé des 15 huiles essentielles les plus appropriées à votre objectif minceur !



Un livre que je compte bien dévorer sans gagner un kilo !


Tu as déjà lu ce livre et tu aimerais partager ? Tu as envie de le lire et tu as peut-être des questions à me poser ? Ou peut-être que tout simplement tu veux faire plaisir. Laisse donc un commentaire.

vendredi 29 avril 2016

Réception du 29 avril

Nom du livre
Auteur
Florent Marotta
Editeur
Année de parution
2016 (à paraître)
Genre
Fantasy
Nombre de pages
408 pages

Synopsis
           
            Ambre Delage est une lycéenne lambda. Orpheline de père et de mère, elle vit chez sa tante Lucy qui l'élève depuis sa naissance. Un soir, un événement dépassant l’entendement va brusquement la jeter dans un tourbillon de révélations qu'elle était loin d'imaginer. Dès lors, pour la jeune fille tout bascule. Il faut fuir. Fuir sa vie tranquille, fuir son identité. Mais qui est-elle vraiment ?



Un chouette livre que je m’empresserai de découvrir !


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lundi 25 avril 2016

Réception du 22 avril

Nom du livre
Auteur
Alain Blondelon
Editeur
Année de parution
2014
Genre
Science-fiction
Nombre de pages
238 pages

Synopsis
           
Torgal et Marvick, deux Défricheurs, pensaient avoir affaire à une mission de tout repos sur la planète Végétalis. Après tout, il ne s'agissait que d'aller récolter une simple plante, utilisée pour la confection d'un cigare aphrodisiaque prisé dans toute la galaxie.

Mais, comme souvent, il peut y avoir de sacrées différences entre la théorie et la pratique.

Entre les autochtones qui vont leur réserver bien des surprises et une bande de mercenaires sans scrupules, nos deux prospecteurs galactiques verront leur résistance mise à rude épreuve.

S'ils s'en sortent, ce sera au prix fort.

Et que penser de ces terrifiantes CONNEXIONS MENTALES.





Je remercie Babelio et Armada pour cet envoi que je m’empresserai de découvrir



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dimanche 24 avril 2016

Partials (1)


Nom du livre
Partials (1)
Auteur
Dan Wells
Editeur
Albin Michel
Année de parution
2013
Genre
Dystopie, Science-fiction
Nombre de pages
528 pages

Synopsis

            Un virus. La guerre contre les Partials ces êtres mi-humains, mi-robots a décimé la population. Seuls quelques milliers retranchés à Long Island ont survécu. Et le virus mystérieux le RM les tue petit à petit. Chaque nouveau-né vit moins d’une journée si ce n’est quelques minutes. La race humaine s’éteint inexorablement et aucun médecin n’a de remède.

Un espoir. Dans cette atmosphère désespérée, Kira, jeune interne en médecine, a une nouvelle hypothèse. Pourquoi les Partials sont-ils naturellement immunisés contre le RM ? Et si la solution venait de l’ennemi juré lui-même ?

Une héroïne. Kira se lance alors dans une expédition au risque de devenir une hors-la-loi. Infiltrer les Partials, en capturer un et le ramener à long Island pour l’étudier et peut-être, trouver un antidote. Mais le pari est risqué : soit elle réussit et sauve l’humanité, soit elle échoue et sera considérée comme une terroriste par son propre gouvernement. À moins que ce soient les Partials eux-mêmes qui ne la tuent...

Mon avis

             J’avais vu ce livre il y a quelques temps sur les réseaux sociaux et on m’avait conseillé de le lire. Ayant un peu de temps libre, j’ai sorti ce livre de la faible couche poussiéreuse et l’ai lu avec avidité. Au début, avant de commencer ma lecture, j’avais un peu d’appréhension car je suis un grand amateur de livres mettant en scène une dystopie et je ne voulais donc pas retrouver ce que j’avais déjà lu dans d’autres livres. Finalement, je n’ai pas été déçu par cette lecture et vous livre mon avis des plus détaillés, en espérant vous guider vers le choix ou non de ce roman.

            Tout d’abord, ce livre est riche en rebondissements et là, j’aimerais m’arrêter quelques instants pour vous livrer ma définition de rebondissement car j’ai remarqué que certaines personnes dans mon entourage ou d’autres dans notre société comparait ce phénomène aux péripéties alors que ce n’est pas la même définition. Une péripétie est une action. Un rebondissement est un retournement de situation. A plusieurs reprises dans ma lecture, j’ai été surpris par ces retournements de situation et trouvais cela fantastique. Lorsqu’on lit un livre de ce genre, c’est pour être épaté, pour se retrouver dans un monde futur dont nous ne pouvons pas connaître les limites, dont nous ne pouvons pas contrôler les éléments. Si les rebondissements n’avaient pas lieu, cela signifierait que nous commençons à nous adapter à notre environnement de lecture et que nous ne serions plus une personne désabusée, perdue par les changements du monde et du gouvernement (car oui, les dystopies mettent en scène une nouvelle représentation du pouvoir exécutif).  Et si tel était le cas, l’auteur aurait raté sa mission de nous rendre impuissants. Nous pouvons avoir l’illusion de connaître le monde et de le maîtriser mais l’écrivain est là pour renverser cette situation. Dan Wells a très bien compris et géré cela dans son écrit. J’avais l’impression de cerner le monde, de me reposer sur mes acquis, mes découvertes et d’un coup, tout ce que j’avais imaginé s’est effondré lors d’une péripétie ou d’une révélation.

            Ensuite, les héros sont très sympathiques. A chaque fois que je découvre un nouveau roman, j’accorde de l’intérêt aux personnages, apprenant à les connaître et cerner leur psychologie. Chaque livre est un univers et pour découvrir chaque monde, il nous faut des guides, les personnages. Le contact avec eux est quelque chose de primordial. Le lecteur doit se sentir en confiance pour se laisser aller dans l’histoire et découvrir la merveille du récit et pour cela, il doit retrouver en eux une partie de lui. Leur âge relativement jeune et leur tempérament rebelle m’ont aidé à m’intégrer dans cette équipe de choc. J’ai appris à les connaître et en eux, le lecteur plongera dans son côté aventurier avec un grand sourire. Néanmoins, j’ai trouvé ces héros tellement intéressants que j’aurais aimé apprendre à les connaître un peu mieux, les cerner de manière plus précise. Certains livres, certaines histoires ne nécessitent pas un approfondissement de connaissance mais je pense que dans le cas de ce récit, cela aurait été un plus de connaître plus d’éléments sur les personnages. Peut-être que je serai rassasié dans les autres romans de cette série, peut-être que l’auteur livre tout goutte-à-goutte dans sa trilogie. En tout cas, j’ai hâte de retrouver ces héros.

            Pour terminer, je vais vous parler de la plume de l’auteur, autre point essentiel lorsque je juge un livre pour savoir si je l’ai apprécié ou non. Je déteste quand l’auteur rend son écriture lyrique, métaphorique, poétique même si par moments, je ne me gêne pas de faire la même chose lors de mes rédactions scolaires. Une composition en français est un devoir par lequel l’étudiant montre son savoir littéraire, sa maîtrise de la langue française alors qu’un roman est un écrit par lequel l’auteur est censé plonger le lecteur dans un univers et non dans des maîtrises grammaticales. Ce livre respecte cela, nous plongeant directement dans un univers futuriste délabré et en voie d’extinction. La maîtrise de la langue (anglaise, française, espagnole ou toute autre langue) ne se traduit pas par un langage ampoulé de vers alexandrins mais par une aisance de lecture, un confort que le lecteur appréciera à sa juste valeur. Je me suis tellement senti bien avec cette plume que j’ai rapidement lu ce livre, lisant les plus de 500 pages à une vitesse record. Un récit peut être bon mais avec une plume de basse qualité, le récit devient piètre. Un récit peut être mauvais mais avec un stylo de qualité supérieure, il devient bon. Un récit peut être bon et écrit avec une main de maître, il deviendra un chef d’œuvre.

            En conclusion, j’ai bien aimé ma lecture et suis impatient de trouver le deuxième tome pour m’y plonger dedans.




Un roman mettant en scène un monde en voie d’extinction et dont la seule solution est mortelle



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samedi 23 avril 2016

L'Etranger

Nom du livre
L’Etranger
Auteur
Albert Camus
Editeur
Folio (Gallimard)
Année de parution
1971
Genre
Philosophique, Réaliste
Nombre de pages
191 pages

Synopsis

            «Quand la sonnerie a encore retenti, que la porte du box s'est ouverte, c'est le silence de la salle qui est monté vers moi, le silence, et cette singulière sensation que j'ai eue lorsque j'ai constaté que le jeune journaliste avait détourné les yeux. Je n'ai pas regardé du côté de Marie. Je n'en ai pas eu le temps parce que le président m'a dit dans une forme bizarre que j'aurais la tête tranchée sur une place publique au nom du peuple français...»

Mon avis

             Dans le cadre de mon cours de français, il m’a été donné de lire ce roman que j’ai trouvé assez intrigant et qui m’a laissé perplexe durant sa lecture mais également devant la feuille d’interrogation. En tout cas, avant d’argumenter, je peux vous dire que ce roman ne donne pas le goût de la lecture aux jeunes. Pour ma part, je n’ai pas vraiment aimé et j’expliquerai, dans les lignes qui suivent, mon avis. Cet avis comprendra deux arguments sur le moment de lecture et un dernier sur le message dévoilé.

            Tout d’abord, le personnage est sans émotion et ne dit que la vérité. Je trouve que c’est un procédé assez original de la part de l’auteur mais ne suis pas convaincu par le résultat final de ce travail. D’un côté, je ne peux nier que l’originalité, la recherche et la mise en œuvre est un travail qu’il faut gratifier car cela a pris du temps assez considérable et un travail important mais d’un autre côté, ça ne me plait pas car cela ne rend pas l’histoire plus jolie, gaie. Comme il ne ressent pas d’émotion, nous suivons le protagoniste principal du roman dans un monde de sensations et nous n’allons pas comprendre pourquoi il ne réagit pas à ces stimuli de la vie. Je n’ai ressenti aucun attachement avec Mersault, le personnage du roman, alors qu’un auteur favorise cela pour que son roman plaise. Il ne m’a pas plu car il est différent de nos membres de notre société. Vous et moi réagissons, vivons des émotions positives et négatives et cela nous rend vivants. Je vais vous illustrer cela car je pense que ça serait plus facile de comprendre. Quand vous pleurez ou rencontrez l’amour, vous éprouvez deux émotions : la tristesse et l’amour. Ces deux sentiments font de vous quelqu’un de vivant, d’humain et non comme un humain programmé, lobotomisé, sentimentalement mort. Nous côtoyons un cadavre vivant et comme toute personne, je ne me suis pas senti attiré par ce corps sans vie morale.

            Ensuite, le récit est alourdi par le rythme dégagé par la plume du l’auteur, donnant l’illusion que l’histoire est lente alors qu’un bon nombre de péripéties sont présentes. Cette lenteur est également accentuée par le personne principal dont j’ai tracé le portrait dans le premier paragraphe de cet avis. Certains auteurs auraient su rendre ce scénario attirant pour le lecteur alors que Camus a su m’ennuyer. Pourquoi rendre son récit lourd ? Certes, pour son temps, il respecte les codes mis en place, d’usage et je ne peux pas entièrement le blâmer. Son personnage déteint sur la qualité de la représentation du scénario et l’alourdit. Pour illustrer mes propos, je vous invite à imaginer une salle de concert remplie de jeunes adultes. Pour les mettre dans l’ambiance, le musicien va jouer une musique au rythme rapide, entraînante, incitant les auditeurs à danser. Or, ici, l’auteur nous propose plus une musique classique aux sonorités parfois complexes. C’est comme s’il voulait faire disparaître toute vie dans son récit, tuant d’abord le personnage, ensuite le rythme du scénario. Le problème est que l’intérêt du lecteur, déjà mis à mal par le personnage est encore plus bas, ennuyant l’élève que je suis. Comment pourrait-on susciter l’intérêt de jeunes lecteurs avec une histoire si lente et un personnage mort ?

            Pour terminer, je vais vous parler du message délivré dans ce récit. Je tiens à préciser qu’avec notre professeure de français, nous n’avons pas encore abordé ce sujet durant nos heures de cours et je ne suis donc pas influencé par ses propos. Derrière les mots se cache une critique pointue et démontrée de notre société contemporaine, du comportement de celle-ci qui frôle le stupide. Ce message est délivré et illustré par le récit et cela est quelque chose d’assez bien car dans les romans de ce genre, nous avons parfois la conclusion, la réflexion ou le cheminement écrits tel quel dans le livre, ce qui ne donne plus le goût de la déduction au lecteur. Néanmoins, je ne pense pas avoir compris l’entièreté de ce message car il est trop radical. J’ai su en retirer la base mais pas les nuances et tout le monde sait qu’une nuance peut faire la différence. C’est un peu comme imaginer un vélo alors qu’on nous dit seulement que c’est un moyen de locomotion à pédales. L’imagination peut nous donner des dizaines d’interprétations différentes. Si on rajoute que ce vélo a deux roues uniquement, le visions s’éclaircissent et diminuent en nombre car le changement est radical. Avec la base, on ne peut avoir une vue d’ensemble sur l’auteur et le monde de 1950/60.

            En conclusion, ce roman philosophique est à conseiller auprès d’adultes amateurs du genre car pour un adolescent ou un adulte lisant pour se divertir, ce livre est bien ennuyant.



Un livre philosophique au rythme mortuaire d’un cadavre ambulant




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mercredi 20 avril 2016

Double réception du 20 avril

Nom du livre
Seul le bonheur
Auteur
Hervé Heurtebise
Editeur
Éditions Hélène Jacob
Année de parution
2016
Genre
Littérature générale, Humoristique
Nombre de pages
178 pages

Synopsis
           
            Adrien Pons déteste le thé, mais c’est bien là son moindre défaut. Aux nourritures terrestres, il préfère, tant s’en faut, les nourritures de l’esprit. Les mots ont toujours été son fort et il s’en nourrit, au propre comme au figuré.

Écrivain talentueux, mais quelque peu bougon, Adrien Pons tient ses contemporains à une distance respectueuse, mais fraîche, selon les atomes qu’il a rarement crochus, avec les individus qui peuplent ou traversent son quotidien.
Comme il est dit que même les plus grands ermites ne sont jamais à l’abri d’une rencontre fortuite, il va connaître les tourbillons du fameux effet papillon, remuant son existence jusqu’aux tréfonds.

Pourtant peu enclin à transiger avec ses habitudes, Adrien Pons va se lancer à son corps défendant dans sa nouvelle drôle de vie, jusqu’à ce qu’elle lui assène un mauvais coup, qu’elle lui garde un chien de sa chienne.
Désormais, Adrien Pons va expérimenter le chaos, les petits bonheurs et les affres du désespoir, ce que la vie donne et ce qu’elle reprend irrémédiablement.
Elle va faire de lui un autre homme, un homme de chair et de faiblesses, en perpétuelle révolution, envisageant les choses sous un œil nouveau, un homme en rupture avec son passé, un homme en éternel devenir…



Je remercie l’auteur et les Rebelles-Webzine pour cet envoi



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Nom du livre
Journal d’un proctologue. Et autres nouvelles
Auteur
Hervé Heurtebise
Editeur
Éditions Hélène Jacob
Année de parution
2013
Genre
Nouvelles
Nombre de pages
76 pages

Synopsis
           
            On devient proctologue par hasard, je ne connais pas un enfant qui voudrait le devenir une fois devenu adulte. J’imagine d’ici la scène du bambin annonçant à ses parents :

« Moi, quand je serai grand, je veux être proctologue !
— Tu veux être quoi ?!?
— J’veux être proctologue, j’veux que les gens s’agenouillent devant moi et moi, je leur mettrai des doigts dans le trou des fesses ! »

À coup sûr, l’enfant qui dirait cela finirait sans tarder chez le pédopsychiatre. Je n’étais pas cet enfant-là, moi je voulais être chirurgien, je voulais opérer des cœurs.

Ainsi commence le journal de ce médecin que d’aucuns décrivent comme « blasé, cynique et drôle ». S’il semble tout mettre sur un même plan, on comprendra qu’il y a deux choses qui comptent plus que tout dans sa vie : sa fille Léa et ses patients.

Le sport ne sert à rien. Comment peut-on porter un jugement aussi abrupt que péremptoire ? Le sport, les médecins vous le diront, c’est bon pour la santé. Oui mais…

Céline est éreutophobe. Non, elle n’est pas, clame-t-elle, érotomane ni encore moins nymphomane ! L’éreutophobie, c’est la peur de rougir, en public, pour un rien. Et, dans son cas, ce n’est pas juste une peur, elle rougit à la moindre occasion.



Un petit recueil de nouvelles qui m’a l’air fort sympathique


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lundi 18 avril 2016

C'est lundi, que lisez-vous ? (32)

Bonjour tout le monde ! Comment allez-vous ?

Pour ma part, aujourd'hui, c'était ma première fois ! J'en suis tout ravi, content, le sourire aux lèvres même, si par sûreté, j'ai bu une boisson sucrée juste après. Comme vous l'avez deviné, j'ai donné mon sang ! Bah quoi ? Vous pensiez à autre chose?

Alors, comme chaque lundi, je vais vous partager ce que j'ai dernièrement lu, ce que je lis actuellement et ce que je lirai plus tard. Avant que vous le demandiez, j'ai deux chroniques de retard depuis un petit temps mais je n'ai pas le temps mais je vous les écrirai, promis ! 

Lecture passée



Lecture présente



Lecture future



Et vous les amis ?

mercredi 13 avril 2016

Mystery Club (3) : l’Ile interdite


Nom du livre
Mystery Club (3) : l’Ile interdite
Auteur
Fiona Kelly
Editeur
J’ai lu
Année de parution
1998
Genre
Jeunesse, Thriller, Suspense, Policier
Nombre de pages
160 pages

Synopsis

            Une semaine de vacances au bord de la mer, chez la tante de Holly ! Pour le Mystery Club, plus question de jouer les détectives. Un mot à l'ordre du jour : farniente ! Oui, mais... dès leur arrivée, Tracy aperçoit quelque chose d'étrange. Au milieu de la baie, face à la maison, il y a une île interdite au public : on y faisait des expériences lors de la dernière guerre et l'endroit est encore dangereux. Alors, comment expliquer que Tracy y ait vu des lumières ? Ou plutôt, des signaux lumineux... En fait de vacances tranquilles, voici donc Holly Tracy et Belinda de nouveau sur le sentier de la guerre. Comme d'habitude, les adultes ne les prennent pas au sérieux. Pourtant, c'est un gros, très gros poisson qu'elles viennent de ferrer. Du genre requin sanguinaire, mangeur d'adolescentes trop curieuses...

Mon avis

             J’avais lu certains des romans de la saga quand j’étais jeune et j’avais vécu un merveilleux moment de lecture parmi les membres du fameux Mystery Club. Il y’a quelques temps, j’ai voulu lire leurs histoires à nouveau. Après une longue pause entre ce livre et les deux premiers, je vous le chronique pour vous partager mon avis.

            Tout d’abord, et comme à l’époque, ce que j’ai le plus apprécié est la jeunesse des héroïnes. Parmi les autres livres, les autres séries littéraires présentes dans la collection, celle-ci est la seule mettant en scène des personnages dont l’âge est proche de celui du lecteur. C’est un des atouts majeurs de ce roman car nous nous sentons plus proches des personnages et le jeune lecteur – car oui ce livre est écrit à la base pour des enfants empruntant les sentiers de l’adolescence – sera attaché immédiatement aux membres de l’équipe mystérieuse. Avoir de jeunes personnages au centre d’un roman donne du rêve. En effet, quand nous sommes jeunes, nous avons eu presque tous, voire tous, envie de résoudre une enquête, de s’immerger dans la peau d’un détective et de découvrir des indices pour boucler les malfrats ensuite. Dans mon cas, étant un moins jeune lecteur, cela m’a donné le sourire de me remémorer mes rêves d’enfant, mes souvenirs d’exploration, mes jeux d’été.  Puis, je ne sais pas si vous l’avez déjà remarqué mais lorsqu’il s’agit d’un héros jeune, d’un(e) adolescent(e), on se sent rapidement plus proche, plus à l’aise, s’attachant moins difficilement et percevant avec moins de difficulté le caractère du protagoniste. Nous savons directement que le personnage n’est pas faux, qu’il ne cache pas quelque chose derrière ses airs et cela est détendant de juste se concentrer sur l’affaire et non la psychologie des personnages. Certains diront que ce n’est pas un vrai thriller, d’autres comme moi avoueront qu’un livre sans prise de tête fait du bien.

            Ensuite, un autre élément très intéressant dans ce roman est l’accessibilité de l’enquête pour le jeune lectorat. Une enquête est assez complexe et dans la majorité des cas, nous sommes dépassés par la compréhension de l’histoire jusqu’à la fin du récit. Nous essayons de deviner le thème de l’affaire mais nous sommes incapables de tomber juste avant de lire les dernières pages. Ici, c’est différent, nuancé. Nous sommes également dans la peau d’un enquêteur sauf que nous ne sommes pas tenus éloignés de l’histoire, des faits et c’est un peu comme si nous étions un membre du Mystery Club. Ce que je veux dire, montrer est le fait que le lecteur n’est jamais sans ressource vu qu’il suit l’enquête en même temps que les enquêtrices en herbe. Rien ne lui est caché. Le suspense n’est pas de savoir le fin mot de l’histoire mais celui de découvrir comment va se procéder la capture des malfrats et cela est à la fois original car peu courant, voire pas du tout, du moins, dans mes lectures et accessible pour les jeunes car c’est nettement plus simple. Et contrairement à ce que vous pourriez penser, cela n’empêche pas notre jeune ami lecteur de s’immerger dans la peau d’un détective pour lui-même essayer de trouver des indices et émettre des suggestions quant à la capture des bandits. Je me rappelle qu’étant âgé de 12 ans, ce livre était pour moi un thriller prenant.

            Pour terminer, je vais aborder l’ambiance générale du récit qui pourra étonner plus d’un d’entre vous. Dans un livre de ce genre, nous nous attendons à pénétrer une ambiance froide, humide, glacée, donnant des maux à vos os, s’imaginant un petit crachin nous couvrir et avoir la peur d’être nous-mêmes surveiller. Ici, l’ambiance est différente, unique. C’est un mélange de plusieurs thèmes adoucissant cela et nous offrant plus de sensations, de ressentis. Outre cette sombre ambiance, nous avons celle que nous inspirent l’innocence des personnages et notre attachement pour eux. Ce crachin froid et pénétrant est adouci par le rayonnement des personnages. Finalement, nous nous plongeons dans une enquête mais l’ambiance générale du récit est bon enfant. Certes, il y a des moments plus tendus, plus sombres que d’autres mais nous ne ressentons pas le danger à l’état pur, il est toujours adouci. Pour un enfant, ce livre est un merveilleux moment de détente dans une sphère agréable et légèrement teintée de noirceur tandis que pour un jeune adulte, c’est un petit roman enfantin sans prise de tête.

            En conclusion, si vous arrivez à trouver ce livre sur une brocante ou une bourse aux livres, n’hésitez pas à vous le procurer pour votre enfant ou des connaissances.



Un petit thriller initiatique emmenant l’enfant sur les sentiers d’un mystère aux multiples dangers



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mardi 12 avril 2016

Réception du 12 avril

Nom du livre
Auteur
Z.A. Maxfield
Editeur
Année de parution
2016
Genre
Romance M/M
Nombre de pages
292 pages

Synopsis
           
Le cœur d’un cow-boy est aussi vaste que ses terres…
Contremaître du ranch J-Bar, Malloy passe le plus clair de son temps seul, rodant à la lisière de la vie des autres tel un vieux coyote, accomplissant son boulot et maintenant sa vie privée. Jusqu’à l’arrivée de Crispin Carrasco.
Mince, musclé, et doté d’une bouche qui refuse de la fermer, Crispin fait jaillir une étincelle en Malloy… embrasant un feu dont le contremaître ignorait l’existence. Mais comment un coyote esseulé peut-il approcher la chaleur d’un feu ? Et plus important encore, qu’arrivera-t-il si ces flammes le brûlent ?

  

Un livre dont le résumé m’a emmené au galop sur les terres herbeuses



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