mardi 28 juillet 2015

Top Ten Tuesday (2)



Bonjour chers fans,

Quand vous lirez ces lignes, je serai probablement au travail mais qu'importe, le principal est d'être présent pour ce second TTT (Top Ten Tuesday)

Je remercie ma partenaire Petite Plume pour m'avoir laissé reprendre cette idée de thème : les manies de lecture

Lecteurs invétérés ou occasionnels, nous avons tous nos manies plus ou moins mauvaises

Voici donc une petite liste d'habitudes que j'ai pendant que je lis

1) Correspondre avec des personnes (amis, connaissances...)


Hé oui, terrible manie dont je suis adhérent. Je lis rarement un livre sans parler avec mes amis via les réseaux sociaux ou les SMS. Même si le livre est bien, je papote tout le temps (ou presque). Certains diront que je n'arrive pas à me plonger dans l'univers du livre et bien, détrompez-vous mes chers.

2) Stopper à la fin d'un chapitre ou à la fin d'un paragraphe pour faire une pause


Je m'explique. Parfois, je ferme mon livre ou j'éteins ma tablette car j'ai envie de faire autre chose que de lire. Je surfe donc un peu sur le Net, j'écris un article ou je crée un document car j'ai envie de me changer les idées, quel que soit le livre.

3) Regarder de temps en temps à quel pourcentage je me trouve dans la lecture d’un e-book


Oui, je m’amuse à voir à combien de pourcents j’ai avancé dans la lecture. Je trouve cela divertissant de voir le chiffre. Je ne tourne pas totalement rond dans ma tête.

4) Bien mettre son marque-pages dans le livre


Quand j’utilise un marque-pages, je veux qu’il soit bien mis dans le livre. Il ne peut pas dépasser par le bas. Je le tapote donc plusieurs fois sur mon bureau pour être sûr.

5) Commencer plusieurs livres à la fois


Je suis très ouvert aux technologies et je lis donc sur tablette et GSM mais également sur format papier. Ainsi, je peux entamer 4 à 5 lectures.

6) Ne jamais abandonner un livre (ou presque)


Alors là, je n’abandonne pratiquement jamais un livre. Si je ne l’aime vraiment pas, je le laisse de côté pendant plusieurs mois et je reprends là où je m’étais arrêté. J’ai juste abandonné la lecture de Games of Thrones car je n’y me retrouvais pas.

7) Eteindre la musique quand je lis


Cela parait évident mais quand je ne lis pas, je suis tout le temps entouré par la musique et donc, ça fait un gros changement pour moi. Passer du rythme allemand de Rammstein au calme de la lecture, c’est assez frappant.

8) [Nouveauté] Ecrire les belles citations qu’on trouve dans les romans


Dernièrement, j’ai créé un document reprenant les belles citations que je trouve dans les romans. Cette habitude est à ancrer même si je n’ai pas envie de me stopper pour réécrire la citation.

9) Préférer le papier jauni


Oui, vous avez bien lu. Cela ne me dérange pas de lire un livre papier sur un beau papier blanc mais je préfère le papier usé par le temps. Sur ma tablette et mon GSM, l’arrière-plan est de a couleur du parchemin, un jaune-brun.

10) Lire plusieurs fois un livre pour l’école


Même si je n’aime pas le livre (et généralement, je ne l’aime pas), je lis au moins deux fois un roman que je dois lire pour l’école. J’ai généralement une meilleure note à l’interro et quand on lit le roman 4 fois, on connaît mieux es détails que la prof


Et voilà, notre rendez-vous est déjà fini. N’hésitez pas à interagir, à commenter, à aimer, à partager ou à me donner des bisous.


Bonnes lectures et bisouilles

lundi 27 juillet 2015

Me contacter

Bonjour,

Ci-dessus, vous trouverez un formulaire de contact pour pouvoir m'adresser un message plus facilement. Par malchance, les formulaires de contact fournis par Blogger ne fonctionnent pas et j'ai préféré faire appel à une source extérieure

foxyform

C'est lundi, que lisez-vous ? (3)

Bonjour les loulous et bienvenue pour la troisième semaine de notre rendez-vous du lundi

Alors, comment s'est passé votre semaine livresque ?

Découvrez la mienne. Malgré le travail que j'ai commencé jeudi, je me suis épanoui 

Lectures passées

Ranger (1) : le prix du sang

Le baiser des fées (1) : Exilée

Lectures du moment

Aristote et Dante découvrent les secrets de l'Univers

L'artDeLaChute noire



Lecture future

Palissade

Et vous les amis ? Que lisez-vous ? Qu'avez-vous lu ? Que lirez-vous ?

Le baiser des fées (1) : Exilée

Nom du livre
Auteur
Fleur Deschamps
Editeur
Année de parution
2015
Genre
Erotique, Fantasy, Lesbien (bi)
Nombre de pages
65 pages

Synopsis

            Douces et chaudes, ainsi sont les fées. De sa plume savoureuse et impertinente, Fleur Deschamps, auteur emblématique de Collection Paulette, anime les petites fées coquines qui peuplent la clairière. Le bal s'ouvre sur les muses de la forêt. C'est un peuple merveilleux de lucioles, de faunes, d'animaux aussi qui les entourent. Mais c'est compter sans Merlin le magicien lubrique qui n'apprécie rien tant que les fées si attirantes. Comment Merlin maintient-il les fées sous sa gouverne ? Quels stratagèmes devront-elles mettre en place pour échapper au joug du magicien avide de sexe ? Quel chevalier servant oserait venir à leur rescousse ? Une trilogie haletante et excitante, servie par une écriture d'une grande finesse. Ne manquez pas de découvrir le mystère qui se cache derrière Le baiser des fées… Laissez Fleur Deschamps vous inviter à venir jouer à saute-fées…
« Clochette ne rêve pas d’embrasser un nom mais des courbes généreuses. Elle se souvient parfaitement de la bouche entrouverte de Chloé et du moment délicieux où les lèvres pulpeuses se sont refermées sur son sexe offert. Langue pointue, dardée dans son intimité, elle frémit encore de plaisir au souvenir de cette extase. Et elle n’a pas oublié non plus les seins charnus aux pointes roses de sa compagne d’une nuit. Elle veut absolument la retrouver ce soir, se laisser sucer à nouveau et se perdre ensuite dans ses formes rebondies. Sans oublier les ailes délicates et le plaisir infini que les petites fées trouvent à les frotter les unes contre les autres. Frisson garanti. Clochette virevolte et, ayant enfin trouvé Chloé, fond sur sa proie en un furieux piqué avant qu’une autre ne la lui chipe sous le nez. »

Mon avis

             Avant de commencer, je tiens à remercier la maison d’édition pour ce petit envoi numérique qui était assez plaisant à lire et qu’on regrette par son nombre petit de pages. Alors, merci Collection Paulette pour l’envoi de ce roman que j’ai vite lu malgré moi. Je dois vous avouer que ma lecture a été assez plaisante et je vous invite donc à continuer de lire pour découvrir pourquoi j’ai aimé lire ce petit roman de 65 pages jusqu’au bout.

            Tout d’abord, nous avons ce mélange d’érotisme et de fantasy qui est un mélange assez rare. Malgré toutes mes lectures, je n’avais encore jamais lu un roman mêlant ces deux genres et cela ne me dérangeait pas. En fait, si, j’en avais déjà lu un mais je n’avais pas aimé mais celui-là, j’ai assez aimé. Dans cette recette, nous retrouvons la simplicité du texte qui ne monte pas à la tête du lecteur et aussi (et bien entendu) les moments plus osés qui donnent toujours un petit sourire en coin. Nous avons aussi une description brève et simple des personnages de l’histoire. Pour la fantasy, nous avons les créatures imaginaires dont les fées et les faunes mais également une petite pensée moyenâgeuse avec les chevaliers et les magiciens, ce qui nous fait donc penser à cette époque-là. Il y a également un certain lyrisme du genre imaginaire que les amateurs reconnaîtront dans les pages. Nous mélangeons toutes ces caractéristiques et nous tombons sur un onctueux nectar qu’est ce petit roman.  Le problème quand on est amateur de fantasy, c’est de trouver des livres un peu plus pour adultes. Nous tombons directement sur Le Seigneur des Anneaux par exemple mais comme tout lecteur, nous avons parfois envie de lectures plus simplistes, avec moins de détails et ce livre nous permet d’avoir un univers tout à fait facile à comprendre. C’est un peu comme la gastronomie. Nous aimons parfois des repas raffinés et qui prennent du temps à cuisiner, préparer et servir et parfois, un macaroni jambon-fromage suffit à nous rendre heureux le soir. Je n’avais pas faim d’un plat compliqué, j’avais faim de lire et ce petit roman m’a mis l’eau à la bouche.
            Ensuite, nous avons une intrigue qui est basée sur le schéma classique. Nous avons nos héros qui sont ici des héroïnes assez  séduisantes qui se lancent dans une quête dont le but est donné par une autorité supérieure. Au fur et à mesure, elles vont se faire aider par des protagonistes et seront repoussées par des méchants. Cela prouve également qu’il y a une simplicité dans ce roman tout à fait déconcertante et bienvenue pour se détendre. Je ne dis pas qu’on ne sait pas se détendre dans un livre plus complexe mais nous devons faire plus attention aux détails tandis que ce livre, en rentrant d’une semaine de boulot complètement fatigante est le bienvenu et nous comprenons parfaitement les détails et les rebondissements qui se présentent au fur et à mesure de notre lecture. Outre l’avantage de la simplicité, ce type de schéma permet au lecteur d’avoir une meilleure vue d’ensemble. Prenons toujours l’œuvre de Tolkien que j’ai citée dans le premier argument pour mieux expliquer ce que je suis en train de dire. Maintenant, amateurs des hobbits, essayez de vous représenter ce livre en vue d’ensemble. Cela est très compliqué voire impossible si on veut faire cela rapidement. Ici, cette vue d’ensemble est une tâche aisée et rapide, cela permet au lecteur de mieux se repérer dans la suite par après.
            Pour terminer, je reste assez mitigé sur une chose, les détails. En effet, je ne trouve pas que cette première partie donne assez de détails. Il y a certains livres où on se passerait bien des détails qui sont d’une lassitude infinie mais ici, avec le style d’écriture de l’auteure, nous voulons avoir plus de détails, nous avons encore faim de ces petites fées. Pour moi, il y’avait moyen de tripler l’épaisseur de ce premier tome en y ajoutant des détails, un peu plus de péripéties. Je ne demande pas d’écrire un Seigneur des Anneaux mais sur le périple, sur les rencontres dans le roman, sur les moments de bien-être, il y avait aisément moyen de tirer en longueur sans ennuyer le lecteur. Au contraire, cela aurait même fait plaisir je pense. Je suis resté sur ma faim, j’aurais voulu avoir plus de renseignements sur les personnages, peut-être un peu leur passé, comment s’est passé leur périple (qui a été très court), les détails de leurs nuits plus ou moins agitées. Je ne cherche nullement à rabaisser le livre mais en écrivant plus, on peut mieux développer l’histoire tout en restant assez simple dans celle-ci. Je dirais même que cet argument est une invitation à l’auteure d’écrire de plus gros romans car c’est le seul bémol de son livre.

            En conclusion, malgré la petitesse de l’histoire, j’ai aimé lire ce livre qui est assez simple et détendant, mélangeant deux genres pour donner une onctueuse crème à dévorer.



Un petit roman vous enveloppant dans l’univers de deux genres différents tout en se détachant par une onctueuse simplicité

Petite note : je mets 3,5 étoiles car ce livre est plus qu'un livre à trois étoiles mais moins qu'un roman à 4. Avec un peu plus de détails, il aurait pu en avoir 4 voire 5



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Ranger (1) : Le prix du sang

Nom du livre
Ranger (1) : Le prix du sang
Auteur
D.B. Drumm
Editeur
Presses de la cité
Année de parution
1986
Genre
Science-fiction, Apocalypse
Nombre de pages
192 pages

Synopsis

            Après l'apocalypse nucléaire, le monde n'est plus qu'un désert de cendres et de sang. Les survivants se terrent dans quelques villes forteresses, loin des routes dévastées où grouillent les Krabs, des bandes de parias d'un effroyable sauvagerie pour qui une vie humaine ne vaut pas le prix d'un litre d'essence. Un homme vit encore sur ces routes. La légende l'a surnommé

RANGER
     Il n'a qu'un but : survivre
     Qu'une règle de vie : tirer le premier, sans poser de question.
     Mais c'est le seul héros qu'il nous reste...

Mon avis

             Je voulais une lecture papier un peu plus légère après tant de livres numériques reçus par les maisons d’édition. Non que les livres reçus me dérangent, loin de là, je ne fais qu’en redemander mais juste que parfois, mes doigts doivent retrouver la texture du papier pour un peu changer de mon écran griffé de tablette. J’ai pris un livre simple permettant de me changer les idées dans ma période de fatigue intense. Mon choix s’est donc porté sur le premier tome de la saga « Ranger ». Une lecture que j’ai appréciée.

            Tout d’abord, nous sommes entourés d’action. Nous avons les rebondissements passés qui ont mené la Terre à cet état d’apocalypse et la transformation d’un monde civilisé en un monde complètement barbare et sanguinaire. Ce livre m’a fait beaucoup pense à « Ken le Survivant ». Pour les amateurs de cette série, je n’ai pas besoin de vous faire un dessin pour vous dire que l’action n’y est pas manquante. Pour les autres, pour ceux ne connaissant pas cette vieille série japonaise, je peux vous dire que le personnage et le lecteur n’ont pas le temps de se reposer car chaque action arrive après l’autre. Nous sommes un engrenage pris dans un autre et chaque dent de cette roue de fer représente une bagarre, une action, un rebondissement. Par contre, ne vous attendez pas à quelque chose dont la vitesse est continue car notre engrenage entraînera dans l’autre qui ne cessera d’aller de plus en plus vite et qui ne se stoppera qu’à la fin de l’histoire, du but final du premier tome. Le lecteur sera pris dans un système qui le poussera à terminer une action pour pouvoir stopper sa lecture sauf qu’il n’arrivera pas à la stopper car tout s’enchaîne, il sera pris jusqu’au bout du livre.
            Ensuite, ce livre brille par sa simplicité. Parfois, c’est vrai, je dénonce la simplicité comme un désavantage du livre et à d’autres moments, comme un avantage. Cela dépend de mon humeur en fait. Il y a des moments où je suis prêt à lire des livres normaux, un peu plus intelligents que quelques coups de feu et des bagarres tout le long du roman et parfois, il me faut juste ça pour me rendre heureux. Comme je l’ai dit dans l’introduction, je suis dans une période de fatigue et il ne me faut donc pas de lectures trop compliquées et ce livre correspond à mes désidératas. Nous avons un livre simple ne montant pas à la tête du lecteur et nous avons énormément de scènes d’action qui n’endormira pas la personne qui lit ce roman. J’entends souvent dire que les livres simples font décrocher les gens mais non, il faut de tout dans la littérature et pour être un bon lecteur. Chacun va avoir un moment où il voudra de simples lectures pour se divertir et non des lectures plus symboliques. L’histoire est bien présente mais contrairement à un livre plus compliqué, les réflexions, les mises en place des pouvoirs, la vie des gens n’est pas détaillée. Nous avons un objectif unique et nous détaillons cet objectif sans détailler le reste alors je ne vois pas le problème de la simplicité et dans ce cas, dans mon humeur, je trouve que cela est un avantage.
            Pour terminer, nous avons quand même des éléments originaux et marrants. La simplicité n’empêche pas de créer des éléments originaux et parfois, assez marrants. Par exemple, l’élément le plus frappant de cette imagination est la cause du changement de vie du personnage principal. Quand nous savons pourquoi il est devenu si fort, nous sommes assez amusés par  la réponse. Le moyen de locomotion de notre « Ranger » est aussi assez divertissant à découvrir. Nous avons encore là une imagination assez enfantine. En fait, quand j’étais gosse, j’imaginais souvent des véhicules, des voitures avec des armes, des systèmes de défense et alors, en découvrant la camionnette de notre héros, je n’ai pu sourire qu’en rappelant mes croquis d’enfance. Les personnages qui peuplent le bouquin sont tout aussi amusants et originaux, de la serveuse au restaurant jusqu’au méchant fiscaliste. En plus d’une simplicité de lecture, le lecteur a un sourire en découvrant tout cela. Entre deux coups de feu, nous pouvons rire de la situation un peu burlesque des personnages. Bien évidemment, cela peut être perçu comme de la moquerie et ils n’ont pas tout à fait tort mais cela fait partie de la simplicité. Nous n’avons pas une recherche poussée des personnages, des éléments et donc, nous cherchons le plus simple et cela ne dérange pas pendant la lecture.

            En conclusion, j’ai trouvé la lecture de ce roman assez agréable et je la recommande à tous les jeunes lecteurs (quand je dis jeunes lecteurs ici, je dis ceux qui ne lisent pas depuis longtemps) ou aux personnes qui désirent une lecture plus simple pour se changer les idées.


Une lecture simple et burlesque riche en action qui ne prendra pas la tête du lecteur




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dimanche 26 juillet 2015

Réception du 26 juillet

Nom du livre
Auteur
Franck Villemaud
Editeur
Année de parution
2015
Genre
Thriller
Nombre de pages
180 pages

Synopsis

            À sa sortie de l'hôpital psychiatrique, où il a séjourné un temps suite à une séparation douloureuse, Fred emménage dans une petite maison en arrière d'un immeuble, avec pour unique voisin Roland, ancien légionnaire d'une cinquantaine d'années.
Sur fond d'alcool et de rock'n'roll, une amitié trouble et déjantée va alors se nouer entre eux, dans le décor inamovible de leur cour commune que divise une vieille palissade en bois.
Jusqu'à ce que le passé s'invite à la fête…



Un roman au résumé intéressant que m’offre Taurnada. Merci beaucoup



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Sans raison…

Nom du livre
Auteur
Mehdy Brunet
Editeur
Année de parution
2015
Genre
Thriller, Espionnage, Policier, Suspense
Nombre de pages
274 pages

Synopsis

            Je suis dans cette chapelle, avec ma femme et mes deux enfants, je regarde le prêtre faire son sermon, mais aucun son ne me parvient.
Je m'appelle Josey Kowalsky et en me regardant observer les cercueils de ma femme et de ma fille, mon père comprend.
Il comprend que là, au milieu de cette chapelle, son fils est mort. Il vient d'assister, impuissant, à la naissance d'un prédateur.

Mon avis

             Je n’ai lu que très peu de thrillers et encore moins des bons. Nous avons, dans notre monde, des pêcheurs qui se spécialisent dans la pêche de perles. Nous avons également des touristes, qui, aiguillonnés par un pêcheur, participent à cela pour s’amuser. Parfois, cet amusement se termine par la trouvaille d’une perle bien blanche. Ainsi guidé par Taurnada, j’ai découvert un beau bijou de littérature. « Sans raison… » est dans le top 100 des ventes Policier et Suspense en format Kindle. Je tiens, avant tout, remercier la maison d’édition pour cette belle découverte. Après vous avoir dit que j’ai aimé le livre, il faut que je vous l’explique. Vous trouverez mon avis ci-dessous.

            Tout d’abord, cette lecture emplit les personnages et le lecteur de sentiments qui se bousculent, se chamaillent, se battent. En effet, rien que le résumé suscite des émotions au lecteur. Quand on nous parle de mort, de prédateurs, on ne reste pas indifférent. Là, nous avons un sentiment de crainte par rapport à ce qui peut se cacher derrière les mo(r)ts, sur les pages mais nous éprouvons également une malsaine curiosité qui nous pousse à tourner les pages de ce livre jusqu’au bout pour savoir la réaction des personnages, leurs actions, leur comportement … Dès les premiers chapitres, ces deux sentiments augmentent de manière exponentielle quand d’autres viennent alimenter le brasier des sensations procurées par ce roman. Tristesse. Dégoût. Désappointement. Fatigue. Colère. Haine. Vengeance. Ce mélange mortel nous donne une recette que le lecteur va absorber jusqu’à la dernière goutte. C’est ainsi que nous tournons page après page, notre esprit manipulé par ce mélange enivrant de ces sombres ingrédients. Nous ne sommes pas les seules victimes de ce mélange mortellement savoureux. Les personnages, eux, prennent la douleur alors que nous prenons le plaisir (de lire). Nous les voyons se transformer au fur et à mesure de notre lecture, nous les voyons remonter la pente avec un objectif en tête et nous les suivons dans la réalisation de cet objectif et une question nous vrille les tympans. Qu’est-ce que la justice ? La recherche de cette réponse est la cerise sur le gâteau des émotions de l’histoire.
            Ensuite, nous n’arrivons pas à agripper le suspense pour connaître le fin mot de l’histoire. Un mauvais et moyen thriller a une intrigue plutôt ratée où le lecteur devine aisément les rebondissements futurs de l’histoire et là, nous ne sommes pas surpris et cela gâche un certain effet. Nous sommes comme le conducteur d’une voiture sur une ligne droite, nous fonçons sans être surpris. Les bons thrillers font apparaître des tournants dans l’histoire et le lecteur est surpris. Conducteur que nous sommes à travers notre lecture, nous abordons le virage plus ou moins serré et continuons notre route. Ici, nous sommes dans un très bon thriller. L’auteur va nous dessiner une belle ligne droite, va nous faire miroiter une nationale ou une autoroute et nous allons accélérer, nous allons mettre le pied au plancher et ivre de cette vitesse sans cesse grimpante, nous n’allons pas faire attention, nous n’allons pas nous questionner sur la suite de cette route et d’un coup, un tournant apparaît et nous n’avons pas le temps de freiner, nous nous écrasons contre le mur de ce tournant. L’auteur va nous faire croire que son intrigue est ratée, va nous faire croire qu’on a tout deviné alors que nous n’en savons rien. Mehdy Brunet est le berger de nous, pauvres moutons, égarés quand nos suppositions tombent à l’eau ou s’écrasent contre un mur. Un roman nous mettant en haleine jusqu’à la dernière ligne, dessinant virage sur virage.
            Pour terminer, pour donner de tels sentiments et de telles illusions aux lecteurs, il faut avoir une écriture digne de ce nom. Un style d’écriture trop simple gâcherait une partie de cela tandis qu’une écriture trop lyrique arriverait au même résultat. Nous avons donc déjà un juste milieu dans la grammaire, le vocabulaire et la tournure des phrases mais cela n’est pas suffisant pour que l’auteur arrive à nous donner tout cela. Les mots employés arrivent à être percutants pour les yeux du lecteur. Les tournures de phrases arrivent à nous plonger au milieu de l’histoire. Nous ne rouons pas sur n’importe quelle route rectiligne, nous roulons, nous fonçons, nous dévalons la route de « Sans raison… ». L’écriture donne une réalité presque matérielle à l’histoire et le lecteur ne peut être qu’ébloui par une telle maîtrise de la langue française. L’auteur ne cherche pas à se vanter, il tente de partager les moindres lettres de son histoire avec les autres personnes. Cette écriture est la charpente de l’histoire et grâce à cela, les deux arguments ci-dessous sont présents dans le livre.

            En conclusion, c’est en remerciant encore Taurnada, que je vous recommande chaleureusement ce thriller qui a été une belle découverte pour moi, une belle perle dans la mer du Policier et Suspense.

Petite note pour l’auteur et l’éditeur (ainsi que les lecteurs curieux) :

Le roman invite à une suite tout aussi riche en rebondissements, ce qui est assez rare vu la qualité de cette invitation mais, malgré l’attente d’une suite, je me pose des questions. Nous avions, ici, une histoire qui était très percutante dès le début à cause de ce qui est arrivé au personnage de Josey pour qu’il se transforme en prédateur. L’invitation nous fait sous-entendre à une autre enquête mais nous ne perdrions pas justement cet élément émotionnel assez conséquent ?



Un roman à l’écriture ensorcelante qui donne un mélange tendrement angoissant d’émotions et d’illusions

A deux doigts d'un coup de cœur

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samedi 25 juillet 2015

TAG de Petite Plume en date du 25 juillet

Bonjour ou bonsoir chers fans décalés ou non de mon horloge,

Aujourd’hui, grande nouvelle, j’ai été taggué par une amie. Non, je ne me suis pas mis contre un mur pendant qu’elle me passait la bombe à peinture dessus. Un TAG, dans les blogs littéraires, est un article où on répond à des questions données et aujourd’hui, je réponds  à Petite Plume



Je blogue un peu, beaucoup, passionnément


1. As-tu une ligne éditoriale pour ton blog ? Si oui, quelle est-elle ?


Le but premier de mon blog est de faire partager mes lectures avec d’autres internautes, d’autres lecteurs pour pouvoir les  convaincre, en parler et me faire des connaissances dans le domaine pour s’échanger des titres, des astuces et tout simplement pour parler. Alors le blog livre mon ressenti par rapport aux titres lus et ainsi, permet de créer des liens de connivence.

2. Pourquoi avoir choisi ce titre pour ton blog ?


Alors, il n’y a pas vraiment d’anecdote particulière pour cela. Je m’appelle Kevin et comme mon blog parle de mes lectures, j’ai fait un lien entre les deux, d’où Les lectures de Kevin. Désolé de vous décevoir mes amis sur ce point.

3. Pourquoi avoir choisi cet entête pour ton blog ?


Alors mon en-tête de blog n’est pas très compliqué à faire. Je n’ai même pas mis d’image mais je pense le faire un jour. Peut-être même une bannière. Petite Plume m’a donné un nom d’une personne assez douée pour cela. J’irai peut-être lui demander si cela ne dérangerait pas de me faire une bannière. Pour l’instant, n’ayant pas d’idée représentant l’entièreté de mon blog de manière succincte, je ne mets aucune image. Ce que j’aimerais, c’est une bannière avec le titre de mon blog et quelques petites images représentant un peu les genres présents sur le blog.

4. En moyenne, combien de temps mets-tu pour rédiger un billet ?


Je dois vous avouer que je n’ai jamais regardé combien de temps  je mettais à écrire un article mais je dirais plus d’une demi-heure, une petite heure peut-être. Ecrire un article de réception est plus court qu’une chronique. Puis, une chronique, selon que cela soit un livre partenaire ou non, elle est plus ou moins longue car j’y ajoute des liens hypertextes. Mais en moyenne, oui, je consacre une petite heure par article.

5. Combien de temps consacres-tu à ton blog par jour ?


J’écris un à deux articles par jour en moyenne donc je dirais deux heures. Parfois, je fais simplement rien car je suis crevé après le travail, parfois je rédige plusieurs articles à la suite mais jamais énormément de chroniques en une journée car cela fatigue d’argumenter. Je viens le voir plusieurs fois par jour pour voir si je n’ai pas de commentaires à lire mais ce n’est pas le cas malheureusement. Donc, pour retranscrire la réponse à la question. Je passe environ deux petites heures par jour sur mon blog en période de vacances et moins en période scolaire.

6. Ton moment préféré pour écrire ?


Je suis plus productif le matin à vrai dire, c’est pour cela que j’écris mes chroniques après mon petit-déjeuner. C’est aussi le moment où je dois le moins jongler entre mes conversations, mon jeu (s’il fonctionne) et l’écriture de mes articles.

7. Considérant le nombre de visiteurs et de commentaires pour cette catégorie, tu pourrais la laisser tomber sans que le blog en souffre…


Je n’ai pas encore fait beaucoup d’articles hors de mes chroniques mais comme je n’ai pas beaucoup de visiteurs, je crois que je peux laisser tomber une ou deux catégories sans que cela affecte mon blog. Pour répondre plus sérieusement, je dois encore attendre et voir dans le temps.

8. Qui m’aime me suive – Préfères-tu avoir une grande affluence diversifiée ou le même gang de fidèles ?


Pour les statistiques, c’est mieux une grande affluence diversifiée mais point de vue des connaissances amicales, c’est mieux un petit gang de fidèles. L’un n’exclue pas l’autre, je peux avoir une petite bande ainsi que des touristes d’un jour et là c’est encore mieux.

9. Tu as déjà pensé à devenir Booktuber ?


Les Booktubers, le phénomène à la mode des littéraires. Oui, j’ai déjà pensé à en devenir un mais je ne suis pas très à l’aise devant une caméra, je préfère une assemblée devant moi pour voir à qui je parle. Ensuite, je n’ai pas le temps. Je passe déjà assez de temps à chroniquer à lire, à écrire mes chroniques et à papoter et je ne veux pas sacrifier mon temps de lecture à faire des vidéos. De plus, je suis plutôt visuel qu’auditif et donc, je trouve ça moins intéressant de faire des vidéos qu’écrire de bons articles. Dans les vidéos, on papote sur plein de sujets ou plein de livres alors que le mieux est d’avoir directement les informations utiles. Dans une argumentation, on lit une ligne de l’argument et c’est bon tandis que dans une vidéo, on est quasiment obligé d’écouter tout pour comprendre. Alors oui, j’y ai déjà pensé mais non, je ne le deviendrai pas.

10. Tu as déjà pensé mettre la clé sous la porte pour ton blog ? Si oui, pourquoi ? Et pourquoi continuer ?


Oui, j’y ai déjà pensé car point de vue des visites et des commentaires, ça ne décolle pas mais une expression me revient souvent en tête « Petit à petit, l’oiseau fait son nid ». Donc, je continue d’écrire des chroniques, des articles en tout genre, de maintenir ma page Facebook en vie. De plus, les partenariats me motivent à me dépasser pour rendre le blog de plus en plus attrayant.

11. Tu visites un blog littéraire pour la première fois…


Je suis assez superficiel au début. Je regarde l’allure générale du blog : couleurs, design, présentation, la facilité d’accès aux catégories. Une fois cette étape passée, je regarde le contenu des articles et les fautes d’orthographe. J’accepte quelques fautes mais un « sa va », ça ne passe pas, ça ne passe plus. Il y a des limites et j’ai toujours crissé des dents en voyant des fautes mais je suis assez tolérant car j’en fais de temps en temps également. Personne n’est parfait.

J’adore ! J’y reviendrai souvent, parce que…

Le blog est présentable, que je m’y retrouve facilement, car la personne a un bon niveau d’orthographe et que ses lectures m’intéressent.

Au suivant, parce que…

L’auteur du blog n’a pas réussi à passer les critères qui font qu’un blog est bon pour moi.

12. Je consulte souvent ce blog, mais ce type de billets m’agace ou m’ennuie.


Ce que je n’aime pas, c’est les « zoom » sur un auteur ou une maison d’éditions car je n’en ai rien à faire. Si cela m’intéresse de le savoir, j’irai sur le site de l’auteur ou de l’éditeur mais c’est le genre d’articles qui me pompe et que je passe sans même lire.

Pour terminer, dirais-tu que tes habitudes de lecture ont changé depuis que tu tiens ton blog ?


Oui, j’ai changé. J’ai appris à aimer certains genres que je ne pouvais pas aborder avant, j’ai appris à déguster mes romans et non à les dévorer. Je lis plus également et je ne reste pas calé que sur la fantasy. Je m’ouvre aux autres genres avec moins de réticence.



Pour ce tag, je nomine :

Sur ma table de nuit
Les chroniques d’Affi’
Autant en apporte les livres


Si elles le veulent bien entendu… J

N’y descendez jamais (1) – Aby

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Auteur
Editeur
Amazon pour le concours Kindle 2015
Année de parution
2015 (à paraître)
Genre
(Auto-)biographie fictive
Nombre de pages
103 pages

Synopsis

            Dans chaque histoire, il y a un début, un milieu et une fin. Cette dernière, personne ne la maîtrise véritablement, ni même l'auteur qui offre en lecture un parcours initiatique dans l'univers new-yorkais d'un quartier, celui de Harlem la noire et d'un personnage, une petite fille prénommée Abigail et qui embrassa un invraisemblable destin. Sur soixante-dix ans d'Histoire, sa vie est retracée. De petite fille négroïde exclue et tiraillée entre deux communautés, de ses choix d'adolescente réclamant une justice qui l'a fuie et plus tard, de sa vie de femme, celle d'une matrone tenant de tous ses pouvoirs, une rue, la sienne, celle de la 129ème rue Ouest... Au-delà de ce récit, découvrez une facette de la peur, celle à laquelle vous n'êtes pas préparés. Celle-là même qui se cache loin, par là-bas, quelque-part dans les recoins de votre âme et venez l'affronter au travers de cette vie qui ne vous quittera plus jamais.

Mon avis

             « N’y descendez jamais » est le premier livre de l’histoire d’Aby, un livre qui participe au concours Kindle 2015. Je tiens à remercier l’auteur, Fabrice Liégeois, pour avoir fait confiance en mon avis et ma lecture. Je dois vous avouer que cette lecture était assez étonnante pour un auteur qui n’a pas encore écrit. Je suis quand même resté sur ma faim. Vous comprendrez pourquoi dans mon avis.

            Tout d’abord, ce livre est assez nuageux. J’ai cru que ce roman appartenait à l’épouvante mais je me suis trompé. Nous sommes dans une biographie tout à fait spéciale. Cette biographie donne des détails sur les relations quand le personnage principal n’est pas là mais surtout, ce qui la différencie, c’est le mystique présent dans le livre. Nous sommes dans une écriture et une histoire brumeuse et magique. En effet, comme dans la vidéo réalisée par l’auteur, nous sommes confrontés à un nuage, à de la fumée, à de la brume et au fur et à mesure que le temps s’écoule, cette cape s’envole pour laisser apparaître le dessein, la fin de l’histoire, de ce premier livre. Comme dans toutes les biographies (c’est plus souligné avec les autobiographies), nous allons nous enticher du personnage principal de l’histoire et facilement détester un autre mais cette brume cache nos sentiments avant qu’ils apparaissent plus forts, plus présents. Certains ont eu des grands yeux quand j’ai dit que l’écriture était brumeuse car ils ne comprenaient pas et vous avez tout à fait raison de ne pas comprendre. Ce procédé littéraire est assez rare. Il est parfois emprunté au genre de l’épouvante pour donner des frissons mais ici, il ne donne pas de frissons, ce procédé nous égare dans les limbes de l’histoire et des coutumes des personnages. Ne connaissant pas ces coutumes, nous allons nous rattacher à l’écriture mais comme l’écriture n’est pas solide, nous allons plonger dans l’histoire, en plein milieu des personnages.
            Ensuite, un autre procédé intéressant était l’utilisation de la deuxième personne du singulier par moments. Je dois avouer que je ne suis pas grand amateur de ce procédé littéraire que je trouve assez mal fait car nous nous sentons plus plongés dans l’histoire mais on nous la raconte et on écoute. Je dois avouer que quand je voyais qu’on m’adressait la parole, je m’imaginais dans le salon en train de boire un café avec Aby qui est le protagoniste premier du roman. Or, pour moi, je dois me sentir dans l’histoire et cela est un peu dommage. Je me plongeais dans l’histoire et le « tu » me faisait remonter à la surface. Alors, est-ce mieux de se noyer dans les mots de l’auteur ou déconnecter par mini-secondes de l’histoire ? Cela, vous devrez le dire après avoir lu cette première partie de roman. A partir d’un certain moment du roman, j’ai pu interpréter cette utilisation, ce procédé à ma manière en me disant que c’est l’habitude de cette famille et surtout du père quand il s’adresse aux autres. A vous de découvrir.
            Pour terminer, le roman, malgré sa brume du début devient de plus en plus addictif au fur et à mesure des pages qui s’écoulent. A la fin du livre, on a envie de crier, de devenir fou car nous attendons la suite. Vu la petitesse du livre, j’invite l’auteur à écrire toutes ces histoires d’un coup pour ses prochains romans ou alors, faire comme la saga « Percée à nue », des romans un peu plus gros mais qui paraissent chaque mois. Cette petite parenthèse faite, je continue pour vous dire qu’après avoir lu ce roman, je voulais et je veux toujours connaître la suite de l’histoire de la vie d’Aby car le personnage est très attachant et l’histoire en elle-même nous fait prendre parti de cette petite fille. Si j’ai de tels sentiments envers un livre, c’est qu’il est bon même si je n’ai pas (encore) mangé cette histoire à ma faim.

            En conclusion, j’ai fait une belle découverte en lisant ce roman et je vous le recommande. J’espère également que l’auteur gagnera le concours et que malgré les résultats de celui-ci, il continue d’écrire. Un petit message de sa part m’a appris qu’il continuait d’écrire alors j’attends la suite avec impatience.



Une petite et belle découverte faite dans les nuages de l’histoire qui m’a rendue drogué de la suite



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